Le blog de Richter
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Re: Le blog de Richter
Yop,
J'ai fait mumuse avec les vinyls de SOR et j'ai fait un petit mix (moins de 15 min) incluant quelques morceaux des 2 premiers épisodes.
Je ferai une deuxième session (avec les morceaux plus rapides) prochainement :-)
https://soundcloud.com/groovy69-1/streets-of-rage-mix-part-1
J'ai fait mumuse avec les vinyls de SOR et j'ai fait un petit mix (moins de 15 min) incluant quelques morceaux des 2 premiers épisodes.
Je ferai une deuxième session (avec les morceaux plus rapides) prochainement :-)
https://soundcloud.com/groovy69-1/streets-of-rage-mix-part-1
Richter- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Fait chauffé les platines DJ Richter !!!
snkspirit- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Elles ont bien chauffé aujourd'hui ! :-)
Richter- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Rassures-moi, les bruits de craquement au début du mix #1 c’est un effet que tu as rajouté ?
Baron GIL- Mintissime !
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Re: Le blog de Richter
Non, ça vient du vinyl. Je viens de vérifier sur mes 2 exemplaires (achetés neufs récemment) et les craquements sont présents au début du morceau sur les 2. Enfin ils étaient présents plus exactement: après avoir fait passer plusieurs fois le diamant sur cette portion du disque, ils disparaissent presque entièrement. C'est un phénomène que j'ai souvent observé sur les disques vinyls neufs, ils ont des imperfections qui sont "nettoyées" une fois les sillons entamés par le diamant...bref, mes disques étaient trop neufs lors du mix ^^
Richter- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Tiens, j’étais loin d’imaginer qu’on pouvait rencontrer ce phénomène sur un vinyl flambant neuf !
C’est quand même marrant de se dire qu’on a un enregistrement 100 % numérique qui se retrouve sur un support analogique, pour être mixé et encodé en numérique
J’en profite au passage pour parler rapidement de la fonction jukebox de la compile Sega Vintage Collection Streets of Rage sortie sur 360 et PS3. Pour ceux qui n’ont pas l’ost c’est un excellent moyen de se replonger dans l’ambiance musicale de la trilogie. Petit détail amusant : les titres des morceaux sont écrits en japonais.
C’est quand même marrant de se dire qu’on a un enregistrement 100 % numérique qui se retrouve sur un support analogique, pour être mixé et encodé en numérique
J’en profite au passage pour parler rapidement de la fonction jukebox de la compile Sega Vintage Collection Streets of Rage sortie sur 360 et PS3. Pour ceux qui n’ont pas l’ost c’est un excellent moyen de se replonger dans l’ambiance musicale de la trilogie. Petit détail amusant : les titres des morceaux sont écrits en japonais.
Baron GIL- Mintissime !
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Re: Le blog de Richter
Excellent mix Richter !!
On loue souvent les qualités des musiques de SOR 2 mais plus je compare les deux, plus je préfère celles du 1.
On avait dit de te calmer toi avec tes allusions salaces
On loue souvent les qualités des musiques de SOR 2 mais plus je compare les deux, plus je préfère celles du 1.
Gustav XIII a écrit:Groovy69
On avait dit de te calmer toi avec tes allusions salaces
blitz- Scellé
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Re: Le blog de Richter
Merci!
J'ai un faible pour les musiques du 2, mais celles du 1 ont un petit côté roots qui ne me déplaît pas non plus ^^
J'ai un faible pour les musiques du 2, mais celles du 1 ont un petit côté roots qui ne me déplaît pas non plus ^^
Richter- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Moi j’aime bien celles du 3
Dans le premier épisode j’adore la musique du bateau, elle me fout le frisson à chaque fois.
Dans le premier épisode j’adore la musique du bateau, elle me fout le frisson à chaque fois.
Baron GIL- Mintissime !
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Localisation : Agen
Re: Le blog de Richter
Je viens de terminer Ys Origin sur PS4.
J’avais beaucoup hésité à l’acheter, bien qu’il m’ait beaucoup fait envie lors de sa sortie initiale en 2006 (j’avais alors regretté qu’il ne soit pas dispo sur console).
Il faut dire que le jeu n’est pas forcément très séduisant de prime abord. Les graphismes notamment sont assez ternes et pixélisés, on sent vraiment que le jeu est daté techniquement. Le mélange 2D (persos)/ 3D (décors, fixes) est toutefois intéressant et fonctionne plutôt bien. Les sprites ont indéniablement un charme rétro très agréable. La représentation des personnages lorsqu’ils parlent est également de très grande qualité, un régal pour les yeux.
Il s’agit d’un Action RPG (avec des combats en temps réel donc) se déroulant à l’intérieur d’un tour dont il faudra bien sûr atteindre le sommet. On a le choix entre 2 personnages différents au départ de l’aventure. La maniabilité est au poil, les hit détections fiables. Plusieurs pièces d’équipement et de magies sont à récupérer, du classique en somme. Pas mal de button mashing aussi, notamment contre les boss (je précise que je jouais Hugo le personnage masculin, le gameplay doit être assez différent avec Yunica).
10h de jeu m’ont été nécessaires pour boucler l’aventure. Cela peut paraître peu, mais vu le caractère assez linéaire de la quête (et le fait qu’elle se découle en « huit clos »), c’est suffisant à mon avis. La difficulté est très tolérable, à part contre certains boss où il faudra faire preuve de mémorization pour en venir à bout. Il y a peu énigmes, et elles ne sont pas compliquées.
Musicalement c’est sympathique bien que plutôt discret et pas franchement mémorable à quelques exceptions près.
Là où le jeu brille particulièrement (en dehors de son gameplay addictif), c’est au niveau de son histoire et de la personnalité des protagonistes, particulièrement charismatiques et/ou attachants (le héro notamment). On a vraiment envie d’en savoir plus sur ce qui se trame et de découvrir vers quoi vont évoluer certains personnages.
J’ai beaucoup aimé ce titre. Pour les raisons évoquées plus haut, mais aussi pour son aspect « confiné », linéaire et concis, ce qui pourrait en rebuter certains j’en suis conscient. Mais j’aime ce côté très cadré. J’ai même presqu’envie de le recommencer immédiatement avec l’autre personnage, ce qui m’etonne grandement je dois dire…bref, j’ai été bien inspiré de l’acheter finalement :-)
J’avais beaucoup hésité à l’acheter, bien qu’il m’ait beaucoup fait envie lors de sa sortie initiale en 2006 (j’avais alors regretté qu’il ne soit pas dispo sur console).
Il faut dire que le jeu n’est pas forcément très séduisant de prime abord. Les graphismes notamment sont assez ternes et pixélisés, on sent vraiment que le jeu est daté techniquement. Le mélange 2D (persos)/ 3D (décors, fixes) est toutefois intéressant et fonctionne plutôt bien. Les sprites ont indéniablement un charme rétro très agréable. La représentation des personnages lorsqu’ils parlent est également de très grande qualité, un régal pour les yeux.
Il s’agit d’un Action RPG (avec des combats en temps réel donc) se déroulant à l’intérieur d’un tour dont il faudra bien sûr atteindre le sommet. On a le choix entre 2 personnages différents au départ de l’aventure. La maniabilité est au poil, les hit détections fiables. Plusieurs pièces d’équipement et de magies sont à récupérer, du classique en somme. Pas mal de button mashing aussi, notamment contre les boss (je précise que je jouais Hugo le personnage masculin, le gameplay doit être assez différent avec Yunica).
10h de jeu m’ont été nécessaires pour boucler l’aventure. Cela peut paraître peu, mais vu le caractère assez linéaire de la quête (et le fait qu’elle se découle en « huit clos »), c’est suffisant à mon avis. La difficulté est très tolérable, à part contre certains boss où il faudra faire preuve de mémorization pour en venir à bout. Il y a peu énigmes, et elles ne sont pas compliquées.
Musicalement c’est sympathique bien que plutôt discret et pas franchement mémorable à quelques exceptions près.
Là où le jeu brille particulièrement (en dehors de son gameplay addictif), c’est au niveau de son histoire et de la personnalité des protagonistes, particulièrement charismatiques et/ou attachants (le héro notamment). On a vraiment envie d’en savoir plus sur ce qui se trame et de découvrir vers quoi vont évoluer certains personnages.
J’ai beaucoup aimé ce titre. Pour les raisons évoquées plus haut, mais aussi pour son aspect « confiné », linéaire et concis, ce qui pourrait en rebuter certains j’en suis conscient. Mais j’aime ce côté très cadré. J’ai même presqu’envie de le recommencer immédiatement avec l’autre personnage, ce qui m’etonne grandement je dois dire…bref, j’ai été bien inspiré de l’acheter finalement :-)
Richter- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Evidemment que c'est un super jeu Ys Origin
Je partage ton analyse. J'y avais joué avec Hugo sous Windows.
Mais les musiques sont très bien et même mémorables je trouve (Prelude to the Omen, Water Prison, Fair Skies... entre autres). On retrouve également des thèmes historiques d'Ys, qui sont donc mémorables par nature
C'est malin, j'ai (un peu) envie d'y rejouer maintenant. Mais, je ne regrette pas de ne pas avoir pris cette fausse édition limitée vendue avec les faux compteurs de Limited Run Games Je le téléchargerai éventuellement sur Vita si ça me démange.
Je te conseille fortement de prendre Ys VIII sur PS4, c'est une tuerie, au niveau des meilleurs épisodes de la série (pour moi Ys Book I & II, Ys IV The Dawn of Ys, Ys VI et Ys Seven), si ce n'est au dessus. Le scénario est indépendant, donc nul besoin d'avoir fait les épisodes précédents pour le savourer.
Je partage ton analyse. J'y avais joué avec Hugo sous Windows.
Mais les musiques sont très bien et même mémorables je trouve (Prelude to the Omen, Water Prison, Fair Skies... entre autres). On retrouve également des thèmes historiques d'Ys, qui sont donc mémorables par nature
C'est malin, j'ai (un peu) envie d'y rejouer maintenant. Mais, je ne regrette pas de ne pas avoir pris cette fausse édition limitée vendue avec les faux compteurs de Limited Run Games Je le téléchargerai éventuellement sur Vita si ça me démange.
Je te conseille fortement de prendre Ys VIII sur PS4, c'est une tuerie, au niveau des meilleurs épisodes de la série (pour moi Ys Book I & II, Ys IV The Dawn of Ys, Ys VI et Ys Seven), si ce n'est au dessus. Le scénario est indépendant, donc nul besoin d'avoir fait les épisodes précédents pour le savourer.
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“What a hell are you gonna make?”
Re: Le blog de Richter
quitte à prendre un collector ys, autant prendre celuis de ys viii sur vita/ps4, autrement plus sympathique.
kawickboy- Mintissime !
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Re: Le blog de Richter
Ah moi je me contrefiche des éditions collector...c'est cher, ça prend de la place et c'est rempli de choses inutiles ! Pour le coup, ce Ys Origin made by LRG n'était même pas en édition limitée mais en préco pendant plusieurs jours.
@Gustav XIII: merci pour le conseil, je vais zieuter ça pour voir si ça pourrait me plaire
Je ne suis pas un connaisseur de cette série, le seul que j'ai fait est Ys Book 1 & 2 sur Turbographx 16.
@Gustav XIII: merci pour le conseil, je vais zieuter ça pour voir si ça pourrait me plaire
Je ne suis pas un connaisseur de cette série, le seul que j'ai fait est Ys Book 1 & 2 sur Turbographx 16.
Richter- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Petite soirée raclette + Neo / Bomberman avec les potos ce soir, ça va beugler
Richter- Pièce unique
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Re: Le blog de Richter
Mario Kart 8 (Wii U) 07.10.2017
Un très bon cru, et accessoirement le premier Mario Kart en HD. Au rayon des nouveautés, on notera évidemment les loopings et autres passages qui permettent de défier la gravité. Les nouveaux bonus vont du très bon (le klaxon, seul item qui permet enfin de se débarrasser de ces saloperies de carapaces bleues !) à l'anecdotique (le boomerang et la plante carnivore). J'ai bien apprécié le retour des pièces à collecter (elles permettent d'augmenter la vitesse max du kart), ce qui apporte une petite dimension stratégique. Le titre dispose d'une bonne durée de vie avec 32 circuits de base (16 nouveaux et 16 anciens). J'ai volontairement fait l'impasse sur les 16 circuits supplémentaires (dispos en DLC) puisque j'ai fait l'acquisition de...
Mario Kart 8 Deluxe (Switch) 16.11.2017
Terminé toutes les coupes avec les 3 étoiles à chaque fois en 50 100 150cc (me reste les modes mirror et 200cc). Le même que la version Wii U mais en mieux !!! Déjà il est beaucoup plus beau et fluide (en 60fps). On retrouve tous les DLCs dispos sur Wii U de base, à savoir quelques nouveaux persos (dont Link par exemple) mais surtout 16 circuits supplémentaires (dont de nombreux excellents : le Passage Feuillage, les 2 circuits inspirés de l'univers de F-Zero, celui d'Hyrule et j'en oublie sans doute). Enfin, cet opus permet au joueur de récolter 2 bonus et d'activer un 3ème niveau de turbo, hyper efficace (il faut juste penser à désactiver l'aide à la conduite afin d'en bénéficier). Bred, un indispensable sur Switch !!!
Magical Pop'n (Super Famicom) 19.11.2017
Une autre perle méconnue sur Super Famicom et encore une fois exclusive au marché japonais, sortie en fin de vie de la console (1995) et réalisée par un studio inconnu au bataillon (Polestar). Dans un style plateformes-action sauce kawai, on incarne une petite magicienne (dont le design est pas mal inspiré de Link je trouve) qui se bat avec une épée de base. Au cours de l'aventure, on pourra débloquer jusqu'à 6 magies/aptitudes qui enrichissent considérablement le gameplay. Toutes ces magies disposent d'une forme "ultime" (que l'on peut activer en appuyant sur Select), très utiles contre les boss. L'utilisation des magies nécessitent d'avoir des étoiles en stock (chaque magie consomme entre 0 et 4 étoiles), que l'on peut récupérer sur les ennemis vaincus. Les ennemis sont d'ailleurs étonnamment malins et tenaces pour un jeu 16 bits (ils ne se content pas toujours de nous foncer bêtement dessus). Et les boss / sous-boss sont nombreux (au moins 2 par stage en moyenne).
Graphiquement, le jeu est relativement simple, mais très bien réalisé, et les animations sont splendides. La bande-son est de qualité, avec des mélodies assez peu nombreuses mais entêtantes pour la plupart.
La durée de vie est au-dessus de la moyenne sur le support (comptez 1h30 pour le finir environ), et la non-linéarité des niveaux (6 stages au total), parfois labyrinthiques (un peu comme dans un Metroid, toute proportion gardée) incite à les parcourir de fond en comble, d'autant plus que la recherche est généralement récompensée : vies supplémentaires (il faut obtenir 3 statuettes dorées pour obtenir une nouvelle vie) et coeurs supplémentaires (on démarrer avec 3 coeurs mais on peut augmenter sa vie max jusqu'à . Dommage que le titre soit trop facile (je l'ai plié en un petit week-end, dès la réception du colis ^^).
Au final, un excellent titre, en plus d'être une très belle pièce de collection. A réserver aux collectionneurs vu sa rareté et son prix excessif (cote actuelle: 1 000 - 1300€ environ en fonction de l'état, l'insert rose a facilement tendance à sunfader).
Un petit longplay pour ceux qui veulent voir à quoi ça ressemble :
https://www.youtube.com/watch?v=8zgMAandcX4
Un très bon cru, et accessoirement le premier Mario Kart en HD. Au rayon des nouveautés, on notera évidemment les loopings et autres passages qui permettent de défier la gravité. Les nouveaux bonus vont du très bon (le klaxon, seul item qui permet enfin de se débarrasser de ces saloperies de carapaces bleues !) à l'anecdotique (le boomerang et la plante carnivore). J'ai bien apprécié le retour des pièces à collecter (elles permettent d'augmenter la vitesse max du kart), ce qui apporte une petite dimension stratégique. Le titre dispose d'une bonne durée de vie avec 32 circuits de base (16 nouveaux et 16 anciens). J'ai volontairement fait l'impasse sur les 16 circuits supplémentaires (dispos en DLC) puisque j'ai fait l'acquisition de...
Mario Kart 8 Deluxe (Switch) 16.11.2017
Terminé toutes les coupes avec les 3 étoiles à chaque fois en 50 100 150cc (me reste les modes mirror et 200cc). Le même que la version Wii U mais en mieux !!! Déjà il est beaucoup plus beau et fluide (en 60fps). On retrouve tous les DLCs dispos sur Wii U de base, à savoir quelques nouveaux persos (dont Link par exemple) mais surtout 16 circuits supplémentaires (dont de nombreux excellents : le Passage Feuillage, les 2 circuits inspirés de l'univers de F-Zero, celui d'Hyrule et j'en oublie sans doute). Enfin, cet opus permet au joueur de récolter 2 bonus et d'activer un 3ème niveau de turbo, hyper efficace (il faut juste penser à désactiver l'aide à la conduite afin d'en bénéficier). Bred, un indispensable sur Switch !!!
Magical Pop'n (Super Famicom) 19.11.2017
Une autre perle méconnue sur Super Famicom et encore une fois exclusive au marché japonais, sortie en fin de vie de la console (1995) et réalisée par un studio inconnu au bataillon (Polestar). Dans un style plateformes-action sauce kawai, on incarne une petite magicienne (dont le design est pas mal inspiré de Link je trouve) qui se bat avec une épée de base. Au cours de l'aventure, on pourra débloquer jusqu'à 6 magies/aptitudes qui enrichissent considérablement le gameplay. Toutes ces magies disposent d'une forme "ultime" (que l'on peut activer en appuyant sur Select), très utiles contre les boss. L'utilisation des magies nécessitent d'avoir des étoiles en stock (chaque magie consomme entre 0 et 4 étoiles), que l'on peut récupérer sur les ennemis vaincus. Les ennemis sont d'ailleurs étonnamment malins et tenaces pour un jeu 16 bits (ils ne se content pas toujours de nous foncer bêtement dessus). Et les boss / sous-boss sont nombreux (au moins 2 par stage en moyenne).
Graphiquement, le jeu est relativement simple, mais très bien réalisé, et les animations sont splendides. La bande-son est de qualité, avec des mélodies assez peu nombreuses mais entêtantes pour la plupart.
La durée de vie est au-dessus de la moyenne sur le support (comptez 1h30 pour le finir environ), et la non-linéarité des niveaux (6 stages au total), parfois labyrinthiques (un peu comme dans un Metroid, toute proportion gardée) incite à les parcourir de fond en comble, d'autant plus que la recherche est généralement récompensée : vies supplémentaires (il faut obtenir 3 statuettes dorées pour obtenir une nouvelle vie) et coeurs supplémentaires (on démarrer avec 3 coeurs mais on peut augmenter sa vie max jusqu'à . Dommage que le titre soit trop facile (je l'ai plié en un petit week-end, dès la réception du colis ^^).
Au final, un excellent titre, en plus d'être une très belle pièce de collection. A réserver aux collectionneurs vu sa rareté et son prix excessif (cote actuelle: 1 000 - 1300€ environ en fonction de l'état, l'insert rose a facilement tendance à sunfader).
Un petit longplay pour ceux qui veulent voir à quoi ça ressemble :
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Ma collection :
https://www.neogeo-players.com/t106-collection-kurush-orientee-jap
Mon blog "palmarès" :
https://www.neogeo-players.com/t1047-le-blog-de-kurush
kurush- Near-mint
- Messages : 864
Date d'inscription : 25/10/2015
Re: Le blog de Richter
Dans l'absolue le jeu n'est absolument pas rare
chiant à trouver propre ok
mais ce jeu du moment que tu as 1200/1700 euros ça se trouve^^
chiant à trouver propre ok
mais ce jeu du moment que tu as 1200/1700 euros ça se trouve^^
ezi- Bootleg
- Messages : 34
Date d'inscription : 15/11/2015
Re: Le blog de Richter
Je suis assez d'accord. Tout est toujours une question de prix de toute manière, même dans le rétro !
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kurush- Near-mint
- Messages : 864
Date d'inscription : 25/10/2015
Re: Le blog de Richter
kurush a écrit:Je suis assez d'accord. Tout est toujours une question de prix de toute manière, même dans le rétro !
alors je peux te filer une liste de jeux par mp que même si tu as les sous guillaume ben accroche toi pour les chopper
ezi- Bootleg
- Messages : 34
Date d'inscription : 15/11/2015
Re: Le blog de Richter
J'ai terminé Donkey Kong Country: Tropical Freeze sur Wii U.
Je rejoins l'avis général de ceux (assez peu nombreux apparemment) qui l'ont fait, il s'agit d'un jeu de plate-forme de premier choix. J'avais déjà bien aimé l'épisode Wii (Donkey Kong Country Returns), mais là on est clairement un cran au dessus. L'excellence est de mise à tous les niveaux: c'est beau, les musiques sont géniales, le gameplay est riche (grâce aux différents personnages qui peuvent venir en aide à Donkey), et surtout le level design est particulièrement inspiré. Le jeu est un chouïa moins difficile que son prédécesseur (encore que les "K levels" sont démoniaques), mais on reste loin du jeu casual. Seule petite ombre au tableau: des temps de chargement un peu trop long...
Un grand jeu donc, qui mériterait amplement un portage sur Switch afin que davantage de monde puisse le découvrir et se régaler !
Je rejoins l'avis général de ceux (assez peu nombreux apparemment) qui l'ont fait, il s'agit d'un jeu de plate-forme de premier choix. J'avais déjà bien aimé l'épisode Wii (Donkey Kong Country Returns), mais là on est clairement un cran au dessus. L'excellence est de mise à tous les niveaux: c'est beau, les musiques sont géniales, le gameplay est riche (grâce aux différents personnages qui peuvent venir en aide à Donkey), et surtout le level design est particulièrement inspiré. Le jeu est un chouïa moins difficile que son prédécesseur (encore que les "K levels" sont démoniaques), mais on reste loin du jeu casual. Seule petite ombre au tableau: des temps de chargement un peu trop long...
Un grand jeu donc, qui mériterait amplement un portage sur Switch afin que davantage de monde puisse le découvrir et se régaler !
Richter- Pièce unique
- Messages : 6667
Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 44
Re: Le blog de Richter
J'avais bien aimé le tropical freeze wii u.Juste trouvé le jeu assez dur et punitif vers la fin et encore j'étais loin des 100%
Riri: Tu l'as fini à 100% ?
Riri: Tu l'as fini à 100% ?
Noodles- Mintissime !
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Date d'inscription : 27/10/2015
Localisation : Au pays de la SFC
Re: Le blog de Richter
Non mais j'y reviendrai sûrement plus tard pour tenter le 100% (ce genre d'entreprise demande pas mal de temps), le jeu le mérite !
Richter- Pièce unique
- Messages : 6667
Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 44
Re: Le blog de Richter
Ça y est, j’en ai fini avec Super Mario Odyssey. Après quelques dizaines d’heures de jeu bien immersives, j’ai découvert 600 lunes, ce qui est plus que suffisant pour voir ce qu’il y a à voir. Je pourrais recourir à des indices et passer des journées entières à explorer chaque recoin pour mettre la main sur celles qui me manquent, mais je vais en rester là ;-)
Bon, quel jeu mes enfants. Je ne vais rien spoiler pour ceux qui ne l’ont pas fait, mais c’est du lourd.
Déjà le jeu porte bien son nom, on voyage pour de bon. D’ailleurs c’est la première fois que le fait de terminer un Mario me fait un petit pincement au cœur, tant l’aventure est épique et mémorable (surtout pour un «simple» jeu de plate-forme). Contenu ébouriffant, finition incroyable, gameplay encore plus jouissif qu’à l’accoutumée…c’est le grand écart total après un 3D World soporifique et sans surprise. Les rares défauts que j’ai relevés sont aussi anecdotiques qu’un bon de réduction Play-Asia, rien à redire. Pour moi c’est donc un énorme classique sur lequel souffle un vent de liberté et de modernité dont la franchise avait grand besoin !
Bon, quel jeu mes enfants. Je ne vais rien spoiler pour ceux qui ne l’ont pas fait, mais c’est du lourd.
Déjà le jeu porte bien son nom, on voyage pour de bon. D’ailleurs c’est la première fois que le fait de terminer un Mario me fait un petit pincement au cœur, tant l’aventure est épique et mémorable (surtout pour un «simple» jeu de plate-forme). Contenu ébouriffant, finition incroyable, gameplay encore plus jouissif qu’à l’accoutumée…c’est le grand écart total après un 3D World soporifique et sans surprise. Les rares défauts que j’ai relevés sont aussi anecdotiques qu’un bon de réduction Play-Asia, rien à redire. Pour moi c’est donc un énorme classique sur lequel souffle un vent de liberté et de modernité dont la franchise avait grand besoin !
Richter- Pièce unique
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Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 44
Re: Le blog de Richter
Je viens de terminer Zelda BOTW après une petite centaine d’heures passées dessus.
J’étais particulièrement curieux et impatient de me lancer dans l'aventure, surtout après avoir lu autant de critiques élogieuses…mais aussi quelques retours beaucoup moins positifs mettant en doute la pertinence de certains choix de level design ou de gameplay.
Autant le dire tout de suite, je suis resté scotché au jeu du début à la fin. C’est la preuve évidente que j’y ai trouvé mon compte, mais ça n’empêche pas que j’ai quelques réserves (et pas des moindres).
Le positif
J'ai cherché le terme qui décrit le mieux ce jeu, celui qui m’est venu naturellement à l'esprit est « liberté ». Mais en y réfléchissant bien c’est un chouïa réducteur, « accessibilité » me semble plus juste.
Le degré de liberté est bien sûr ahurissant, le simple fait de ne jamais être bloqué par un quelconque « mur » invisible m’a soufflé d’entrée de jeu. On va vraiment où bon nous semble, la seule limite étant l’endurance du personnage. Cette perspective, déjà grisante en elle-même, est renforcée par le mystère qui entoure la zone de jeu : on ne connait rien à l’avance, et même après avoir activé la carte des zones, il reste nécessaire de se rendre sur place pour découvrir ce que tel endroit nous réserve. Cet aspect le rapproche beaucoup du premier opus. Un autre élément important est l’hostilité des environnements : ennemis, nature, climat…on meurt souvent dans BOTW, ce qui est plutôt inhabituel pour cette saga.
Tout cela contribue à créer un sentiment très fort d’aventure et de conquête : il va falloir survivre avec les moyens du bord !
Au-delà de cette liberté de mouvement, c’est l’intégralité du jeu qui se veut libre et accessible.
Ce qui m'a beaucoup surpris, c'est le fait que le joueur n’est prisonnier d’aucune obligation: sorti des tout premiers sanctuaires du début du jeu, rien n’empêche – en théorie du moins – d’aller affronter immédiatement le boss final. Aucune quête (même principale) n'est requise, les seules obligations sont celles que l’on s’impose, soit pour devenir plus fort soit pour découvrir le plus de choses possibles. Chaque parcours est donc unique.
L'interaction avec les objets (et la gestion de la physique en générale) est assez hallucinante aussi. Le fait par exemple de pouvoir utiliser n’importe quel élément métallique (comme une épée posée sur le sol) comme conducteur électrique est assez révélateur du degré de finition du jeu. Un joueur vraiment talentueux parviendra même à réaliser des choses incroyables, il n’y a qu’à mater un speed run pour en être convaincu !
Enfin, les Divine Beasts - qui font office de temples - offrent également une accessibilité immédiate : pas de salles fermées ou cloisonnées, pas d’ordre imposé pour réaliser les actions permettant d’atteindre l’objectif…c’est vraiment free style. Idem pour le château, qui offre plusieurs points d’entrée et plusieurs parcours possibles par exemple.
Le négatif
Le problème, c’est que ces innovations peuvent également être perçues comme des faiblesses, surtout en l'absence de certains éléments clef de la série.
Premièrement, le côté « réaliste » du jeu a de quoi énerver : armes destructibles, obligation de se déséquipper lorsqu’il y a de l’orage, impossibilité d’escalader les parois en cas de pluie…même si tout cela reste cohérent avec l'esprit général du jeu.
Mais, surtout, le tout manque cruellement de rythme…c’était la contrepartie quasi obligatoire pour laisser au joueur autant de liberté.
Le monde à explorer est gigantesque et, il faut bien le reconnaître, forcément un peu vide. Le manque de vrais donjons se fait cruellement ressentir, et ce manque n’est jamais vraiment comblé ni par la présence des sanctuaires ni par celle des créatures divines. Car bien que proposant des challenges de qualité, ces deux substituts se révèlent beaucoup trop monotones et semblables pour mettre en éveil les sens du joueur. Les créatures divines (dont les mécanismes en temps réels sont intéressants) sont pratiquement vides d’ennemis, et les boss sont trop similaires pour qu’on se remémore l’un d’entre eux en particulier. Tous les pouvoirs spéciaux sont acquis dès le début du jeu, c’est là encore une occasion ratée de relancer l’intérêt au cours de parcours.
Le scénario est très simple également, pas de rebondissement particulier. Heureusement que j’ai collecté les souvenirs, ils ont apporté un peu de structure à un univers par ailleurs trop décontextualisé.
Bref, il manque au jeu une "scénarisation" dans l'enchaînement des événements, un fil conducteur…une certaine linéarité en fait !
Au final
C’est un jeu ambitieux, rafraîchissant et riche, mais qui n’a pas le « feeling » d’un Zelda. Ses principales forces sont aussi ces principales faiblesses. Ce que j’en retiens au final: j’ai été bluffé et j’ai vécu une aventure extraordinaire, à l’opposé d’un Windwaker où j’ai presque dû me forcer pour aller jusqu’au bout. Mais j'en ressort aussi avec une sensation de manque, et j’espère que pour le prochain épisode Nintendo saura conserver cette audace tout en préservant les repères essentiels de la série.
J’étais particulièrement curieux et impatient de me lancer dans l'aventure, surtout après avoir lu autant de critiques élogieuses…mais aussi quelques retours beaucoup moins positifs mettant en doute la pertinence de certains choix de level design ou de gameplay.
Autant le dire tout de suite, je suis resté scotché au jeu du début à la fin. C’est la preuve évidente que j’y ai trouvé mon compte, mais ça n’empêche pas que j’ai quelques réserves (et pas des moindres).
Le positif
J'ai cherché le terme qui décrit le mieux ce jeu, celui qui m’est venu naturellement à l'esprit est « liberté ». Mais en y réfléchissant bien c’est un chouïa réducteur, « accessibilité » me semble plus juste.
Le degré de liberté est bien sûr ahurissant, le simple fait de ne jamais être bloqué par un quelconque « mur » invisible m’a soufflé d’entrée de jeu. On va vraiment où bon nous semble, la seule limite étant l’endurance du personnage. Cette perspective, déjà grisante en elle-même, est renforcée par le mystère qui entoure la zone de jeu : on ne connait rien à l’avance, et même après avoir activé la carte des zones, il reste nécessaire de se rendre sur place pour découvrir ce que tel endroit nous réserve. Cet aspect le rapproche beaucoup du premier opus. Un autre élément important est l’hostilité des environnements : ennemis, nature, climat…on meurt souvent dans BOTW, ce qui est plutôt inhabituel pour cette saga.
Tout cela contribue à créer un sentiment très fort d’aventure et de conquête : il va falloir survivre avec les moyens du bord !
Au-delà de cette liberté de mouvement, c’est l’intégralité du jeu qui se veut libre et accessible.
Ce qui m'a beaucoup surpris, c'est le fait que le joueur n’est prisonnier d’aucune obligation: sorti des tout premiers sanctuaires du début du jeu, rien n’empêche – en théorie du moins – d’aller affronter immédiatement le boss final. Aucune quête (même principale) n'est requise, les seules obligations sont celles que l’on s’impose, soit pour devenir plus fort soit pour découvrir le plus de choses possibles. Chaque parcours est donc unique.
L'interaction avec les objets (et la gestion de la physique en générale) est assez hallucinante aussi. Le fait par exemple de pouvoir utiliser n’importe quel élément métallique (comme une épée posée sur le sol) comme conducteur électrique est assez révélateur du degré de finition du jeu. Un joueur vraiment talentueux parviendra même à réaliser des choses incroyables, il n’y a qu’à mater un speed run pour en être convaincu !
Enfin, les Divine Beasts - qui font office de temples - offrent également une accessibilité immédiate : pas de salles fermées ou cloisonnées, pas d’ordre imposé pour réaliser les actions permettant d’atteindre l’objectif…c’est vraiment free style. Idem pour le château, qui offre plusieurs points d’entrée et plusieurs parcours possibles par exemple.
Le négatif
Le problème, c’est que ces innovations peuvent également être perçues comme des faiblesses, surtout en l'absence de certains éléments clef de la série.
Premièrement, le côté « réaliste » du jeu a de quoi énerver : armes destructibles, obligation de se déséquipper lorsqu’il y a de l’orage, impossibilité d’escalader les parois en cas de pluie…même si tout cela reste cohérent avec l'esprit général du jeu.
Mais, surtout, le tout manque cruellement de rythme…c’était la contrepartie quasi obligatoire pour laisser au joueur autant de liberté.
Le monde à explorer est gigantesque et, il faut bien le reconnaître, forcément un peu vide. Le manque de vrais donjons se fait cruellement ressentir, et ce manque n’est jamais vraiment comblé ni par la présence des sanctuaires ni par celle des créatures divines. Car bien que proposant des challenges de qualité, ces deux substituts se révèlent beaucoup trop monotones et semblables pour mettre en éveil les sens du joueur. Les créatures divines (dont les mécanismes en temps réels sont intéressants) sont pratiquement vides d’ennemis, et les boss sont trop similaires pour qu’on se remémore l’un d’entre eux en particulier. Tous les pouvoirs spéciaux sont acquis dès le début du jeu, c’est là encore une occasion ratée de relancer l’intérêt au cours de parcours.
Le scénario est très simple également, pas de rebondissement particulier. Heureusement que j’ai collecté les souvenirs, ils ont apporté un peu de structure à un univers par ailleurs trop décontextualisé.
Bref, il manque au jeu une "scénarisation" dans l'enchaînement des événements, un fil conducteur…une certaine linéarité en fait !
Au final
C’est un jeu ambitieux, rafraîchissant et riche, mais qui n’a pas le « feeling » d’un Zelda. Ses principales forces sont aussi ces principales faiblesses. Ce que j’en retiens au final: j’ai été bluffé et j’ai vécu une aventure extraordinaire, à l’opposé d’un Windwaker où j’ai presque dû me forcer pour aller jusqu’au bout. Mais j'en ressort aussi avec une sensation de manque, et j’espère que pour le prochain épisode Nintendo saura conserver cette audace tout en préservant les repères essentiels de la série.
Richter- Pièce unique
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Date d'inscription : 25/10/2015
Age : 44
Re: Le blog de Richter
Petite session sur ma SNES Mini cet aprèm: F-Zero, Super Mario Kart, Contra III et Super Castlevania IV.
C'est marrant comme je ne joue pas du tout à ces jeux de la même manière que je joue à n'importe quoi de plus récent: je ne réfléchis même pas à ce que je fais, c'est totalement auto-guidé (presque comme si ça faisait partie de mon ADN ). C'est normal vu que je les ai usés jusqu'à la moelle, mais c'est agréable de constater qu'un plaisir aussi familier reste malgré tout intact après toutes ces années !
En revanche je trouve que techniquement SMK a vraiment mal veilli, contrairement à F-Zero...l'écran splité y est sûrement pour beaucoup. Par contre le focus est vraiment mis sur le gameplay, et le jeu ne fait aucun cadeau: seuls les meilleurs s'en sortent, les items jouant un rôle vraiment secondaire. Ce n'est pas plus mal car même si on perd un peu en diversité, ça rend l'expérience plus "pure". Pas de carapace bleue pour sauver les faibles, Mamie n'a qu'à retourner sur la version Wii ;-)
Sympa cette SNES Mini, pratique et peu encombrante, et strictement aucun lag ressenti sur ma TV.
C'est marrant comme je ne joue pas du tout à ces jeux de la même manière que je joue à n'importe quoi de plus récent: je ne réfléchis même pas à ce que je fais, c'est totalement auto-guidé (presque comme si ça faisait partie de mon ADN ). C'est normal vu que je les ai usés jusqu'à la moelle, mais c'est agréable de constater qu'un plaisir aussi familier reste malgré tout intact après toutes ces années !
En revanche je trouve que techniquement SMK a vraiment mal veilli, contrairement à F-Zero...l'écran splité y est sûrement pour beaucoup. Par contre le focus est vraiment mis sur le gameplay, et le jeu ne fait aucun cadeau: seuls les meilleurs s'en sortent, les items jouant un rôle vraiment secondaire. Ce n'est pas plus mal car même si on perd un peu en diversité, ça rend l'expérience plus "pure". Pas de carapace bleue pour sauver les faibles, Mamie n'a qu'à retourner sur la version Wii ;-)
Sympa cette SNES Mini, pratique et peu encombrante, et strictement aucun lag ressenti sur ma TV.
Richter- Pièce unique
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