Le blog de Richter

Oui bloodborne est plus simple au niveau du gameplay et je pense que c est certainement voulu pour peut être  " accrocher " de nouveaux joueurs .
Comme tu le dis c est une tuerie . L ambiance y est malsaine et glauque a souhait .
As tu fais le jeu avec le DLC ? Perso je l ai fait après avoir fini le jeu et ne l ai pas trouvé génial .....
Es tu allé au bout des donjons calice ? avec l avant dernier boss qui est le plus horrible en terme de difficulté du jeu ? Les zones cachées sont top aussi , tu les as faites ? Si non cela vaut vraiment le coup surtout celle de l église qui est vraiment géniale avec un boss caché dans cette zone cachée  

Spoiler:

Perso j ai pas beaucoup apprécié dark souls 2 c est un peu une pale copie du 1 pour moi mais je sais qu il est apprécié par les fans du PVP , pas vraiment mon cas ......

je ne peux que te conseiller dark souls 3 qui est vraiment génial ( je le place juste derrière le 1 ) et si tu as encore faim de from software tu pourras retourné aux origines avec demon soul's que j ai apprécié aussi bien que préférant son petit frère dark soul's ....

Non, j'ai fait le jeu de base. Mais je viens de commander la version GOTY, car j'avoue que le jeu s'est terminé un peu vite à mon goût, et je suis resté légèrement sur ma faim.

Les donjons Calice, bof...j'ai commencé, mais franchement ça ne m'a pas donné envie de les faire. Il y a certainement de sacrés challenges et des objets puissants à trouver, mais c'est trop coupé de l'histoire principale, ça ne m'intéresse pas.

Par contre j'ai fait les zones optionnelles : Frontière du Cauchemar, Château de Cainhurst , Cathédrale Haute...

Pas fait les quêtes des PNJ, ni des cordons...je n'avais aucune idée du fait qu'il existait plusieurs fins, du coup j'ai eu droit à la première (un peu déçu, mais la cinématique est classe quand même). Ce sera l'occasion de refaire le jeu avec les zones DLC + une autre fin

J'aimerais bien faire Demon's Souls, mais je n'ai pas de PS3. Un Remaster sur les consoles actuelles serait top !

Ce soir j'ai terminé Link's Awakening sur Switch. En mode découverte totale, n'ayant jamais fait la version de 1993.

Je le perçois vraiment comme un croisement entre le premier Zelda et A Link To The Past, simple et riche à la fois. Pour ceux qui comme moi ne l'ont pas connu à l'époque, je trouve que c'est une chance incroyable de pouvoir se plonger en 2019 dans un grand Zelda en 2D issu de l'âge d'or, avec en bonus un nouvel habillage très séduisant. J'ai trouvé la réalisation au top, en particulier les musiques qui sont parmi les plus marquantes que j'ai entendues dans cette série.

J'ai adoré le faire, c'est du Zelda 100% classique, forcément plus étriqué qu'un Breath Of The Wild, mais aussi infiniment plus focalisé et constant. Seul petit défaut, un chouia trop facile à mon goût (mais c'est vraiment histoire de pinailler).

Sinon la réception de ma Mega Drive Mini m'a enfin permis d'essayer un titre dont on me fait l'éloge depuis la nuit des temps, et pour lequel j'ai toujours eu un a priori négatif : Musha Aleste. Verdict : c'est vraiment aussi déplaisant que ce que j'imaginais (je ne vais pas me faire des amis ).
Je lui reconnais des qualités, mais certaines caractéristiques du jeu (en première ligne la grosseur du vaisseau et la complexité du système d'armement) sont complètements rédhibitoires pour moi.

Prochains jeux sur ma To Do List : The Messenger et Catherine Full Body.

Je te rejoins totalement moi non plus je n'aime pas musha aleste à cause des "2 gros défauts" que tu viens de citer.Vaisseau beaucoup trop gros,on dirait qu'on dirige une machine à laver^^

Catherine

Noodles a écrit:
Vaisseau beaucoup trop gros,on dirait qu'on dirige une machine à laver^^

Oui, c'est un peu ça ^^

snkspirit a écrit:Catherine

Je le lance ce week-end ;-)

Richter a écrit:

snkspirit a écrit:Catherine

Je le lance ce week-end ;-)

HaaaAAAA OUAIS !!!!
tu me donneras tes premières impressions

Tu vas te marrer, il y a de bonnes répliques.

Yop, petit retour sur mes derniers jeux terminés.


Tout d’abord The Messenger. Ah, The Messenger…un jeu qui m’aura tiraillé jusqu’au bout. Même après l’avoir terminé, je ne sais toujours pas si je l’adore ou si je le déteste. Selon la manière dont on perçoit la chose, sa plus belle réussite ou au contraire sa déchéance se trouvent dans le « twist » que le jeu propose à mi parcours. En effet, après une première partie rendant hommage à Ninja Gaiden, très linéaire et orientée action, la seconde moitié du soft bascule dans le Metroidvania, avec tout ce que cela implique (exploration, back tracking…).

Certains voient ce virage à 90° comme le moment où le jeu décolle enfin, d’autres comme un soufflé qui retombe. Je fais malheureusement partie de cette seconde catégorie.

Bordel, tout se passait si bien…je tenais dans mes mimines une pure bombe du jeu d’action, digne des meilleurs du genre. Le tout soutenu par quelques dialogues particulièrement bien sentis et dont l’humour fait mouche.

Et puis soudain, « l’idée de génie » des développeurs vient changer complètement la donne. Alors je ne dis pas, en soi cette initiative audacieuse a de quoi susciter l’enthousiasme, mais d’une part tous les joueurs n’apprécieront pas (pour ma part, j’ai plutôt eu un sentiment de tromperie sur la marchandise), et d’autres part cette seconde partie de l’aventure est à mon avis bien moins maîtrisée que la première.

En effet, si les niveaux se prêtent à merveille à une progression linéaire, les explorer de nouveau en monde ouvert m’inspire le sentiment qu’ils n’ont pas été pensés pour cela. De plus, il ne se passe plus grand-chose en terme d’upgrade du personnage ou de dialogues, et la majorité des environnements et des ennemis est désormais connue. Et surtout, surtout, je me suis retrouvé sans la moindre foutue idée de ce que je devais faire ni d’où je devais aller pour progresser. On a vite fait de perdre des heures à explorer à l’aveuglette d’anciens environnements, en espérant y trouver de nouveaux passages, et même avec un guide ça reste laborieux et pas instinctif...il reste toutefois le concept du voyage entre les époques, qui est plutôt bien exploité et donne lieu à quelques idées de level design assez sympa.

Bref, j’ai laissé tomber le jeu. Trois fois. Avec un sentiment de frustration et surtout de gâchis. Et pourtant, j’y suis finalement revenu à chaque fois, jusqu’à le terminer…c’est bien qu’il y a quelque chose de profondément réussi en toile de fonds de l’ensemble. Mais tout de même, quel dommage que le jeu ne s’en tienne pas à sa première idée, quitte à prendre fin après cette première partie si intense…ou insipide, diront ceux qui la perçoivent comme un simple amuse-gueule !



On continue avec Catherine Full Body.J’avais pas mal hésité à l’acheter, craignant que les phases d’action/puzzle ne soient trop rebutantes. Pour ne pas risquer de me gâcher le plaisir, et parce que c’est l’histoire qui m’intéressait et pas vraiment le reste, j’ai directement mis en le en mode « Facile ». J’ignore comment est le mode « Normal » du coup, mais en tout cas cette configuration m’a permis d’apprécier les phases d’action, sans stress inutile.

Quant à l’histoire, elle est très prenante (bien qu’assez simple finalement). Le jeu parvient à merveille à nous faire ressentir les tourments du héro, tiraillé entre tentation et culpabilité. Le fait que les décisions prises par le joueur influent sur le déroulement de l’histoire est un moyen efficace pour l’impliquer au maximum. D’ailleurs, après avoir terminé le jeu d’une certaine manière, j’ai relancé directement une nouvelle partie, espérant pouvoir en apprendre plus et éclaircir certaines zones d’ombre en abordant le jeu sous un angle différent.

Innovant, immersif, sexy et feutré, voilà un jeu qui se savoure tel un bon vin, mais qui ne s’adresse clairement pas à tout le monde.



Pour finir, j’ai enfin pu mettre la main sur le pad SNES officiel pour Switch. Testé sur The Messenger et Shikhondo, je n’ai pas grand-chose à lui reprocher. La croix directionnelle est agréable (contrairement à celle du Pro Controller, qui est à mon avis son seul défaut) et je n’ai décelé absolument aucun lag. Pour ma part, je le préfère au pad 8bitdo que je possédais auparavant, il me semble parfaitement adapté pour les jeux 2D dont le maniement au stick analogique est peu recommandé.

Merci pour ce retour. C est quoi les plus de la version full body ?

Je n'ai pas fait la version originale, mais de ce que j'ai vu la principale différence est l'ajout d'un nouveau personnage principal, ainsi qu'une refonte graphique (incluant également de nouvelles animations) et des fins supplémentaires qui ont été ajoutées. Après avoir fini le jeu pour la seconde fois, j'ai réalisé qu'il existe en fait 13 fins différentes !

poulets a écrit:Merci pour ce retour. C est quoi les plus de la version full body ?

En plus dans la version full body : musiques en plus ou remplaçant certaines , nouveaux personnages lié a l histoire , nouvelles séquences animées , graphismes améliorés , plus de fins , nouveau mode pour les parties puzzle dans les cauchemars , nouveau perso sélectionnable pour les battles ou babel .
( il me semble que c est a peu près tout )

Richter a écrit:Yop, petit retour sur mes derniers jeux terminés.

On continue avec Catherine Full Body.J’avais pas mal hésité à l’acheter, craignant que les phases d’action/puzzle ne soient trop rebutantes. Pour ne pas risquer de me gâcher le plaisir, et parce que c’est l’histoire qui m’intéressait et pas vraiment le reste, j’ai directement mis en le en mode « Facile ». J’ignore comment est le mode « Normal » du coup, mais en tout cas cette configuration m’a permis d’apprécier les phases d’action, sans stress inutile.

Quant à l’histoire, elle est très prenante (bien qu’assez simple finalement). Le jeu parvient à merveille à nous faire ressentir les tourments du héro, tiraillé entre tentation et culpabilité. Le fait que les décisions prises par le joueur influent sur le déroulement de l’histoire est un moyen efficace pour l’impliquer au maximum. D’ailleurs, après avoir terminé le jeu d’une certaine manière, j’ai relancé directement une nouvelle partie, espérant pouvoir en apprendre plus et éclaircir certaines zones d’ombre en abordant le jeu sous un angle différent.

Innovant, immersif, sexy et feutré, voilà un jeu qui se savoure tel un bon vin, mais qui ne s’adresse clairement pas à tout le monde.

Content que tu ais apprécié
Par contre je pense que c est dommage d avoir fait le jeu en facile car tu perds en expérience de jeu dans les parties cauchemar car de souvenir les puzzles sont grandement simplifiés .
Le plus intéressant en terme de fin ( la ou on en apprend le plus ) est avec un Vincent avec un " alignement mauvais au max " . Sache aussi que les dernières réponses données au dernier niveau sont très importantes et qu avec un même alignement mais pas les mêmes réponses tu as accès a des fins différentes donc en sauvegardant au début de celui ci tu peux voir pas mal de fins sans te retaper tout le jeu a chaque fois .

Oui j'imagine qu'on y perd en intensité, mais franchement le mode facile m'a convenu à merveille, parce que l'enjeu pour moi était vraiment d'avoir zéro stress pendant ces phases ! Non pas qu'elles soient inintéressantes (c'est même plutôt sympa finalement), mais je les vois quand même comme une corvée nécessaire pour pouvoir faire avancer le scénario (où je prends réellement du plaisir)

Sur mes 2 sessions de jeu, j'ai eu des fins diamétralement opposées. La seconde, c'était en étant le plus diabolique possible, et j'avoue que ça en valait la peine  

Pour les autres fins, vu que je ne comptais pas recommencer à nouveau le jeu, je suis allé les mater sur YouTube.

Et oui, probablement mon prochain jeu DSIII :-)

ah ah !!! ça va saigner !!! pas de mode facile par contre

Ha ha, là c'est pas pareil, je ne demande qu'à souffrir

Bah , t as fait ton premier soul's donc ceux qui suivent passent comme une lettre a la poste .

Heu...malgré mon expérience sur DS1, Bloodborne m'avait bien défoncé au début du jeu

Dans ma quête des meilleurs pads permettant de jouer aux titres retro sur Switch, je viens de récupérer ceci :



A la base, c'est (en ce qui me concerne) le meilleur pad, avec celui de la Saturn (Jap hein, pas l'autre horreur à laquelle on a eu droit chez nous).

Verdict de cette nouvelle version : hé bien ça dépend !

Le pad en lui-même est parfait, les finitions sont bonnes et on retrouve les mêmes sensations qu'avec celui d'origine (cette croix directionnelle ). A noter qu'on est sur du filaire (3 mètres de cable).

Là où ça se complique, c'est sur le fait qu'on est sur un produit fidèle à l'original, et donc dépourvu de certains boutons spécifiques à la Switch. Du coup, tout dépend de ce que proposent les jeux en terme de configuration des contrôles :

- Pas de config : c'est mort, l'affectation des boutons par défaut est assez chelou. Exemple : la compilation Genesis Collection (un comble pour le coup).

- Config par bouton (exemple : choisir à quoi sert le bouton B) : ça le fait pour les jeux n'utilisant que 2 boutons, mais ça peut devenir problématique au delà (le bouton C n'existant pas sur Switch). Exemple : les compilations Psikyo.

- Config par fonction (exemple : choisir un bouton pour sauter) : là c'est nickel, on peut affecter une action à n'importe quelle touche. Exemple : la compilation Mega Man, la compilation Street Fighter 30th Anniversary.

Personnellement j'y trouve mon compte, ne serait-ce que pour les jeux de Capcom (notamment pour les jeux de baston, où il surclasse aisément ses concurrents). Ça peut également faire un bon pad sur PC (pas testé, mais pour Mame ça peut être pas mal je pense).

Un bon complément au pad SNES et au Pro Controller donc.

Richter a écrit:Dans ma quête des meilleurs pads permettant de jouer aux titres retro sur Switch

8bitDo !

VCO-OP a écrit:

Richter a écrit:Dans ma quête des meilleurs pads permettant de jouer aux titres retro sur Switch

8bitDo !

Déjà eu, revendu. J'avais constaté du lag.

Avec le recul, j'ai quand même un doute, parce que ça ne m'avait pas gêné au début. Peut-être que l'input lag que je crois avoir senti provenait en fait de jeux pas émulés à la perfection, ou dont le maniement a déjà une certaine inertie à la base (genre Mega Man 1).

Tu es peut-être tombé sur une mauvaise. J'avais lu des mauvaises critiques sur le même sujet (ou c'était le jeu).
La mienne est parfaite, je n'utilise que ça depuis presque 1an.

Bonne chance dans ta recherche.

Je viens de terminer Final Fantasy VII pour la troisième fois (la première fois en 2000, la seconde en 2008), cette fois-ci dans son adaptation Switch.

J’avais toujours estimé que c’était le meilleur RPG auquel j’avais joué. A ce sujet, je tiens à préciser qu’il n’a en aucun cas été ma première incursion dans le genre : quand je l'ai redécouvert en 2000 (après une première tentative ratée en 1997, où j’avais trop hâtivement conclu que c’était « de la merde en 3D »), j'avais déjà fait mes premières armes sur Final Fantasy IV et VI, Super Mario RPG, Chrono Trigger, Earthbound, les Shining Force etc. Donc l’argument (insupportable car quasi-systématique) selon lequel FFVII n’a fait forte impression que sur les newbs qui n’y connaissaient rien avant ne s’applique pas à mon cas.

Cette troisième fois a toutefois été l’occasion de porter un regard neuf sur le jeu, avec un maximum de recul et d’éléments de comparaisons, 20 ans après cette première expérience.

Alors, verdict ?


Hé bien pour commencer, les défauts sont plus flagrants que jamais :

- S’agissant d’un des premiers jeux en 3D, l’aspect graphique a beaucoup vieilli, forcément. Même si les portages modernes proposent un lissage qui atténue la pixellisation, on voit bien que les graphismes accusent sérieusement le poids des années. Si les décors fixes en 2D s’en tirent encore pas trop mal, ceux en 3D sont vraiment d’un autre temps. Idem pour les cinématiques, pleines de bonne volonté pour dynamiser l’action, mais complètement à la ramasse techniquement. La modélisation des personnages, quant à elle, est tellement désuète que c’en est carrément risible…en gros plan, attention à l’hémorragie oculaire !

- L’autre souci du jeu, c’est son côté approximatif au niveau des déplacements des personnages dans leur environnement. Il n’est pas rare de se fourvoyer, du fait du manque de clarté sur les chemins "empruntables" (même si une option permet heureusement d’indiquer les accès et sorties). Plus embêtant, les directions que l’on indique au jeu via la manette n’ont pas toujours le résultat escompté selon le positionnement du personnage par rapport au décor, ce qui est assez déconcertant et énervant. On sent que les programmeurs n'étaient pas encore totalement à l'aise avec ce nouveau type de représentations. Quant aux mini phases de gameplay spécifiques qui ponctuent l’aventure, là encore le résultat est plutôt mitigé : si elles apportent indéniablement un peu de variété, force est de constater que leur exécution laisse parfois à désirer.


Heureusement, ces quelques désagréments sont largement contrebalancés par les nombreux atouts du jeu :

- L’histoire et le casting tout d’abord. Même si on n’évite pas quelques clichés et lieux communs (notamment un certain manichéisme sur toile de fond écologique – sujet qui n’était pas dans l'air du temps à l’époque !), la narration reste prenante et intrigante. Au menu : un personnage principal torturé à la personnalité obscure, un bad guy aussi névrosé que charismatique, et quelques twists bien sentis pour tenir le joueur en haleine. La fameuse scène qui a traumatisé toute une génération de joueurs n’a rien perdu en intensité, l’émotion qu’elle suscite reste encore aujourd’hui assez extraordinaire.

- Les compositions musicales de Nobuo Uematsu sont superbes, de la même trempe que celles du sixième opus. Toujours de circonstance, elles restent longtemps dans la tête et participent pour beaucoup à la réussite globale du soft.

- Les éléments graphiques, même s’ils souffrent des limitations techniques évoquées plus haut, ont un certain cachet. Les invocations, notamment, bénéficient d’un soin particulier et sont très stylées. Même la modélisation archaïque des personnages dégage finalement un charme qu’on ne retrouvera assurément pas dans le rendu froid et réaliste du futur remake . On a également droit à une belle diversité au niveau des environnements, entre le post apocalyptique urbain et la pleine nature, en passant par le mystique.

- Last but not least, le système des materias est tout simplement génial. Facile à comprendre mais offrant des possibilités très étendues, c’est le cœur du gameplay. La quête des materias les plus puissantes peut d’ailleurs se révéler être très stimulante : une fois récoltées et bien optimisées, elles permettent une montée en puissance incroyable des personnages, les transformant en véritables dieux de la guerre capables d’affronter sans complexe les ennemis les plus surpuissants du jeu. Grisant !


Mon bilan de quarantenaire endurci et désabusé :

Il est certain qu’ayant été le premier RPG d’un grand nombre de joueurs, la nostalgie a poussé nombre d’entre eux vers un enthousiasme inconditionnel et absolu, ayant conduit paradoxalement à une péjoration (injustifiée) du jeu.

FFVII est un titre sombre, immersif, audacieux et truffé de moments mémorables. Le scénario est accrocheur, l’univers est riche, les mécaniques de gameplay sont profondes et addictives. Le rythme est constant, les quêtes annexes ont du sens. Ses défauts, bien réels, découlent surtout d’un avant-gardisme qui fera les frais de la modernisation d’une technologie qui était alors balbutiante.

Bref, en ce qui me concerne rien n’a changé, il demeure un titre majeur et mon RPG au tour par tour favori.

J'ai toujours été réfractaire au Jrpg, je n'ai fait que ff8 et lost odyssey mais je n'ai fini aucun des deux.

Tous deux à leur sortie respectives...  Cette année je me motive, je me sens plus capable de me plonger dans ce genre de jeu même si je joue très peu.

Chrono trigger pour le moment, je compte bien le terminer.

Merci pour ton avis sur ff7, je le tenterai. Après avoir fini FF6, que j'ai commencé sur PlayStation il y a qq mois.

Chrono cross est sur ma liste aussi.

C’est bien que tu restes ouvert au genre, après c’est comme pour le reste, il y a des titres auxquels on accroche, d’autres non…FFVIII je n’ai pas adhéré du tout par exemple.

Content que tu aimes Chrono Trigger, il fait partie des meilleurs. Le Cross est sympa aussi (les musiques sont divines) mais un cran en dessous quand même.

FFVI est top également, par contre je trouve que les temps de chargement de la version PS1 sont vraiment pénibles…si tu accroches  suffisamment, tu seras obligé de le prendre sur SNES :D

Sur PS1 c’est vraiment l’orgie en RPGs, il y a d’autres titres que tu as repérés ?

Non je me suis limité à ceux que j'ai cités pour le moment. J'ai bien envie de refaire le ff8, à l'époque étant novice et sans soluce ni internet, j'ai abandonné quand je me suis retrouvé bloqué au cd 3 face à un boss trop dur.

Autant pour chrono trigger sur ps1 les chargements avaient l'air super pénibles du coup je l'ai pris sur snes, mais pour ff6, la version ps1 neuve en us m'a coûté 30 eur et je ne trouve pas les chargements trop pénibles. Bon peut être que la collection me poussera à le prendre sur snes ...


J'oubliais mais il y avait bien vagrant story ou Xenogears qui m'attiraient sur ps1.