Le blog de Richter

Bien joué, perso j'en suis à 37 soleils. Je continue de trouver le jeu particulièrement ardu pour un Mario 3D, parfois il faut vraiment s'accrocher.

Je ne joue qu'au Pro Controller, et justement je me demandais comment Galaxy pouvait être joué de cette manière. J'essayerai par curiosité, mais il est probable en effet que le jeu au joy con soit plus pertinent.

Pikmin 3 est vraiment très sympa, mais c'est clair que le concept est assez particulier...j'espère que tu accrocheras.

Je vais passer à Galaxy.

J'ai 50 soleils à Sunshine mais la suite du jeu ne se débloque pas, apparemment il faut finir la 7ème mission de chaque zone pour rendre accessible la dernière zone. Le problème c'est que je trouve certaines missions par lesquelles il faut en passer très frustrantes et parfois mal fichues. En temps normal la difficulté n'est pas un frein pour moi, mais là je galère. Le fait qu'à chaque mort on perde beaucoup de temps à être éjecté du niveau ne motive pas non plus à s'acharner.

Un autre souci que je n'avais pas évoqué est le fait que sur SM64 et Sunshine, le déplacement de la caméra se fait de manière "non inversée". On pousse le stick vers le haut, la caméra monte. En soi ce ne serait pas pénalisant si la possibilité était offerte d'inverser les directions dans les options, mais ce n'est pas le cas. Je sais que pour certains ce n'est pas un problème, moi ça me perturbe car je n'ai pas été "élevé" comme ça, et mon cerveau vieillissant a du mal à réapprendre différemment. Ça ne peut que renforcer les difficultés rencontrées pour boucler certains stages. Pire, d'après ce que j'ai lu les commandes de Sunshine sont inversées sur GC, Nintendo a donc délibérément choisi de modifier la maniabilité de ces jeux sans possibilité de les reconfigurer comme à l'origine.

Autre chose : il y a quelque chose de foireux dans la tonalité des musiques de SM64. Comme si les mélodies descendaient d'un demi ton par moment, avant de reprendre leur tonalité de base. Certainement un léger bug sonore lié à l'émulation, mais un peu perturbant aussi.

Clairement, Nintendo a fait le strict minimum avec cette compilation. Même pas en fait, le strict minimum aurait dû inclure un réglage du maniement de la caméra, surtout quand le jeu de base est modifié. Franchement il y a intérêt à ce que Galaxy ne soit pas fini à la pisse, parce que cette fois Big N est allé un peu loin dans le foutage de gueule (et c'est un fan boy qui le dit).

J'ai re(terminé) Super Mario Galaxy. Le jour et la nuit avec les 2 autres jeux de la compile, ici chaque étoile est un plaisir à récupérer (j'ai choppé les 120, aucune n'a été une corvée). Un grand jeu, qui me fait d'autant plus regretter l'absence du second volet, encore meilleur à mon avis.

Conclusion : Nintendo, c'était pas forcément mieux avant. Alors ok, Galaxy est un jeu fondamentalement différent de 64 et Sunshine. Mais c'est quand même la preuve que davantage de souplesse (que ce soit en terme d'ergonomie ou d'accessibilité/difficulté) rend les choses bien plus digestes.

Sinon, j'arrête définitivement la PS4, avec la mise en vente de ce qui me restait. Tout est sur mon topic de vente, avec pas mal de baisses de prix significatives sur le reste également.

Fait gaffe a force de faire des jeux trop accessibles t'es un train de muter en casu sans t'en rendre compte (c'est pour de rire hein, mais fait quand même attention )
Sinon t'enchaine avec la PS5?

T'as raison, je dois me ramollir

Pas de PS5 non, par contre l'écrémage va sûrement se poursuivre :D

Richter a écrit:T'as raison, je dois me ramollir

Faut être très vigilant avec ces choses la, ça peut devenir très grave

Richter a écrit:
l'écrémage va sûrement se poursuivre :D

Tu revends enfin tes vilains jeux AES US pour de beaux exemplaires jap

T'aimerais bien hein, mais je les garde

Je viens de terminer Ori and the Blind Forest sur Switch.

Même s’il est globalement très apprécié, je savais qu’il avait tout de même ses détracteurs. Je peux le comprendre, le jeu m’ayant passablement irrité durant les premières heures de l'aventure. En cause, une maniabilité un peu trop flottante lors des sauts (rendant certaines phases de plate-formes assez délicates), et une courbe de difficulté un peu en dents de scie, avec un pic de stress lors du premier « boss » qui à de quoi refroidir l’ardeur des moins persévérants. On est en présence d’un véritable Die & Retry, aucun doute la dessus.

Heureusement, on finit par s’habituer à l’inertie du personnage. Et surtout, le développement du panel de mouvements rend rapidement l'ensemble bien plus digeste. Les possibilités de déplacements, une fois débloquées, sont franchement grisantes et permettent de profiter au mieux d’un level design plutôt bien pensé. Les phases de combat, certes pas très évoluées, ne sont pas désagréables.

Quant à l’histoire, vaguement émouvante, elle est finalement assez anecdotique. J’ai presque envie de dire qu’il en est de même pour les musiques, qui sont pourtant objectivement de très grande qualité, mais qui tombent un peu à plat par manque de caractère.

Par contre, graphiquement c’est la claque ! Difficile de ne pas être charmé par les environnements, que ce soit artistiquement ou sur le plan technique.





Pour moi le bilan est largement positif. Passées les premières frustrations, l’ensemble s’harmonise et se fluidifie rapidement, tout en conservant un niveau de challenge intéressant. Je me souviens que je n'avais pas non plus été emporté immédiatement par Hollow Knight, preuve que les toutes premières heures de jeu ne suffisent pas toujours à savoir dans quoi on met les pieds.

Dans quelques temps je me lancerai dans le second opus, en espérant qu’il tienne tout autant la route !



En parallèle, et dans un genre complètement différent, j’ai découvert Demon Front, sur lequel je joue quotidiennement depuis quelque temps.

Ça faisait un moment que j’entendais parler – en bien – de ce clone de Metal Slug. Mais malgré ses qualités techniques évidentes, j’étais curieux de tester son gameplay car je pense que c’est sur la durée que l’on peut juger de la qualité d’un Run’n Gun.

C’est assez déroutant de se retrouver face à un titre à la fois tellement inspiré par MS, et si différent dans ce qui fait le sel du gameplay. En effet, que ce soit l’absence de grenades, le fait de pouvoir planner dans les airs ou la gestions des familiers, j’ai d’abord été décontenancé. Puis dès qu’on essaye de vraiment exploiter ces nouvelles possibilités, tout prend du sens et c’est vraiment rafraichissant !

Sinon graphiquement c’est vraiment très chouette. Voire même un cran au dessus des Slug, même si l’humour est moins présent et que le degré de détails y est peut-être inférieur. En tout cas ici, point de ralentissements à noter malgré la profusion de sprites à l’écran, c’est assez impressionnant. C’est beau, c’est gros, ça bouge bien…du bonheur :-)




Au niveau des reproches, j’aurais apprécié un déroulé plus fluide, les scènes de stagnation (tant que l’écran n’est pas « nettoyé ») étant trop fréquentes à mon goût. C’est l'un des gros défauts de Metal Slug 3, et je regrette qu'IGS ait privilégié cette approche pour son titre.

Par ailleurs, musicalement c’est franchement insipide…dommage, heureusement les bruitages font le job.

Même si je suis encore loin de l’avoir retourné dans tous les sens, le pari est gagné en ce qui me concerne. Pour l’instant, l’envie de lancer une partie ne s’amenuise pas avec le temps, ce qui est très bon signe pour la suite. Le challenge est assez relevé, mais en même temps on progresse très rapidement une fois les niveaux pratiqués un certain nombre de fois. Aujourd'hui le 1CC me parait encore bien loin, mais pas inenvisageable pour autant.

Voilà, je vais m'adonner à ce plaisant défouloir encore un petit moment je pense !

Ori, je l'avais fait sur pc à sa sortie, j'avais tellement aimé, que l'ai fini une seconde fois dans la foulée.
La maniabilité ne m'avait pas surpris. Le point est, je suis d'accord avec toi, sa réalisation graphique.

J'ai beaucoup aimé Demon Front aussi, c'était une belle surprise. L'animation de l'attaque givrante m'avait laissé un agréable souvenir.

Labrioche a écrit:Ori, je l'avais fait sur pc à sa sortie, j'avais tellement aimé, que l'ai fini une seconde fois dans la foulée.
La maniabilité ne m'avait pas surpris. Le point est, je suis d'accord avec toi, sa réalisation graphique.

J'avoue que j'avais un peu peur du syndrome de la coquille vide : une réalisation léchée masquant un gameplay pauvre. Heureusement, il n'en est rien ! Outre sa suite, il me tarde aussi d'essayer l'autre "ex-exclu" Microsoft, Cuphead.

Bouz a écrit:J'ai beaucoup aimé Demon Front aussi, c'était une belle surprise. L'animation de l'attaque givrante m'avait laissé un agréable souvenir.

Tout pareil, je trouve cette animation particulièrement réussie ;-)

demon front est effectivement totalement fou graphiquement. Là où je n'ai pas accroché personnellement, c'est sur le rythme du jeu, là où ça ne s'arrête jamais avec un slug, mais avec des phases plus où moins intenses intelligemment réparties, je l'ai trouvé beaucoup moins bien rythmé. mais faudrait que je m'y remette pour mieux étayer mes propos.

Oui c'est ça, le rythme est haché de par le fait que le jeu te bloque régulièrement, tant qu'un certain nombre d'ennemis à l'écran n'a pas été liquidé.

Les Slug sont assez inégaux sur ce point, le 1 étant celui qui reste le plus fluide dans son déroulement.

Bon, j'ai un peu de mal avec Ori And The Will Of The Wisps.

Je constate qu'il est perçu quasi unanimement comme un chef d'œuvre qui a réussi à faire encore plus fort que son prédécesseur. Je n'en suis qu'à quelques heures de jeu, mais pas mal de choses me chagrinent déjà : les sauvegardes automatiques, les quêtes secondaires en pagaille, la multitude de personnages, le nouveau système d'achat/upgrade d'aptitudes (et surtout le nombre limité pouvant être équipé simultanément)...j'ai vraiment l'impression de me noyer dans tout ce que le jeu me balance à la figure, et que l'essentiel est dilué dans un vaste fourre-tout.

J'appréciais la simplicité de Blind Forest. Ici on sent qu'ils ont voulu mettre le paquet à tous les niveaux, mais parfois le mieux est l'ennemi du bien, et pour moi c'est too much.

Reste le nouveau système de combat à l'épée, qui apporte son lot de satisfactions, et la réalisation technique à tomber par terre (malgré quelques freeze pas vraiment agréables).

Peut-être aussi était-ce un erreur d'enchainer si rapidement sur le second opus ?

En tout cas pour moi la sauce ne prend pas...

Pour moi le 1 se suffisait à lui seul.
J'ai fait le 2 à la sortie, bourré de bugs et de freezes.

Tu as apprécié le 2 malgré tout ?

Je suis allé au bout, y'a eu des moments sympa mais j'étais noyé avec tout le bordel, les compétences, le village à reconstruire, de la monnaie, ...

J'y ai joué 20 heures au moins pour le finir mais Ori 1 faisait déjà tout en 8 heures.

Ok, c'est un peu ma crainte, y passer 3 fois plus de temps pour ne pas en tirer vraiment de plus-value par rapport au 1er.

Petit retour sur mes dernières aventures vidéoludiques :


No More Heroes 1 et 2 (Switch)
En attendant l’arrivée imminente du troisième opus, je me suis refait les deux premiers.

A la base gros fan du 1 et assez déçu par le 2, les parcourir à nouveau m’a mené à un bilan légèrement moins contrasté, même si le premier volet garde ma préférence du fait qu’il est bien plus immersif. Cela reste un plaisir de se (re)plonger dans cet univers barré, d'autant que cette fois-ci on a droit à la version non censurée pour NMH1. A noter que le maniement au Pro Controller fonctionne au poil.

Vivement la suite !




Ninja Gaiden Sigma 1 et 2 (Switch)
En mode découverte totale de ces titres (à travers la compilation sortie récemment), j’en ressors avec le sentiment d’avoir comblé un vide vidéo-ludique.

Le premier volet s’est rapidement révélé addictif, grâce à une difficulté et une exigence qui m’ont rappelé les jeux de From Software (même si cela reste bien moins poussé en terme de level design et de profondeur). J’ai apprécié l'approche posée et l'aspect tactique du gameplay, ainsi que le côté épique de l’aventure (malgré un scénario des plus nanardesques).

Avec ses environnements plus variés, le second épisode se veut quant à lui plus orienté arcade et action, le gameplay simplifié se révélant des plus jouissifs. Mais au passage il perd également certains éléments qui faisaient la richesse, la finesse et la cohérence de son prédécesseur, et voit en outre son niveau de difficulté revue beaucoup trop à la baisse, c'est dommage. L’expérience reste malgré tout très plaisante !

J’ai aussi testé le troisième opus (ici dans sa version « Razor’s Edge ») mais j’ai rapidement laissé tomber, constatant que les critiques à son égard étaient largement justifiées.

Malgré leur âge et le fait qu’ils ne sont pas exempts de défauts, ces titres tiennent bien la route. C’est une belle découverte qui m’a donné envie d'essayer les opus antérieurs sortis sur consoles Microsoft, considérés comme étant les versions définitives.




Skyward Sword HD (Switch)
J’ai voulu lui redonner sa chance sur Switch, car je n’avais pas apprécié la version Wii (abandonnée un peu avant la fin du jeu à l’époque). En cause, la maniabilité motion désastreuse aux Wiimotes et une aventure que j’avais trouvée poussive et pas très passionnante. Ici, la possibilité de jouer avec des boutons plutôt qu’avec des motion controls (même si cela reste possible) m’est tout de suite apparue plus séduisante.

Malheureusement, en terme de gameplay, le bilan n’est guère plus positif. Il faut maintenant utiliser le stick analogique de droite pour dégainer et donner des coups d’épée dans les directions souhaitées, et bien que le résultat soit légèrement plus convaincant, cela reste bien trop mou et imprécis à mon goût. Pire, ça devient même contre-intuitif car ce même stick sert également à orienter la caméra (mais en maintenant un autre bouton en même temps), ce qui crée en permanence un conflit entre les deux fonctions.
Nintendo a fait ce qu’il a pu mais le cœur du gameplay reste le même, avec ce côté hasardeux et inutilement complexe (ne pas s’emmêler les pinceaux tient parfois du miracle). Dommage que l’exploration de ce concept mène plus souvent à la frustration qu’à l’émerveillement.

J’ai joué une dizaine d’heures, et malheureusement je sais déjà que ce n’est pas ce qui m'attend qui va rééquilibrer la balance. Que ce soit le rythme laborieux (dialogues inutiles, déplacements qui prennent une éternité, quêtes lourdingues…), les environnements génériques ou encore les PNJ aussi insipides que leur character design est douteux, il n’y a pas grand-chose pour venir raviver la flame. Enfin si, les donjons : ils sont réussis et constituent pour moi l’atout principal de ce jeu. Quelques lourdeurs ont également été supprimées par rapport à la version originale, c'est toujours ça.

Bref, point de retour en grâce pour cet épisode qui n’est définitivement pas fait pour moi, et demeurera l’un des moins réussis à mes yeux, aux côtés de Wind Waker.



Fight’N Rage (Switch)
Un BTU dont j’avais entendu beaucoup de bien, et à juste titre. Le gameplay y est à l’honneur, avec une profondeur et des possibilités de combos assez folles.

Pour ma part le bilan reste toutefois en demie teinte. En effet, après avoir parcouru le jeu 2-3 fois sans déplaisir, je n’ai pas vraiment envie d’y revenir, la faute à un certain manque de charme : avec des décors peu inspirés et un level design très plat, je peine à adhérer à cet univers auquel seule la bande son musclée apporte un peu de caractère. Le design des protagonistes ne plaira pas non plus à tout le monde.

Toutefois pour qui cherche avant tout un défouloir aussi riche que jouissif et est prêt à s’investir, le jeu est une mine d'or qui promet des heures de plaisir hardcore.

Toi qui a aimé persona 5, as tu fait persona 5 scamble?

J'attends une promotion pour acheter fight'n rage sur Switch également. Je ne jure que par elle désormais.

J'ai Skyward Sword, que je comptais faire sur Wii, juste avant l'annonce de son portage sur Switch, du coup,j 'ai patienté. On verra si j'accroche plus que toi.

No more Heroes, je te l'avais acheté neuf sur Wii, il y a quelques années, je n'ai pas aimé du tout. Donc j'oublie le portage et les suites.

Merci pour ton retour sur ces jeux.


Pour ma part, je recommence zelda, breath of the wild sur Switch, après une partie de 120h sur WiiU. Cette fois ci sans téléportation. Quel jeu fantastique ! Et sur Switch, avec le mode veille, je coupe et relance ma partie instantanément ! Même des jours plus tard.

Vive la Switch !  

snkspirit a écrit:Toi qui a aimé persona 5, as tu fait persona 5 scamble?

Non, il ne m'attire pas du tout. En revanche, un portage Switch de P5R me comblerait (ça finira bien par arriver...enfin je l'espère).

Labrioche a écrit:J'attends une promotion pour acheter fight'n rage sur Switch également. Je ne jure que par elle désormais.

J'ai Skyward Sword, que je comptais faire sur Wii, juste avant l'annonce de son portage sur Switch, du coup,j 'ai patienté. On verra si j'accroche plus que toi.

No more Heroes, je te l'avais acheté neuf sur Wii, il y a quelques années, je n'ai pas aimé du tout. Donc j'oublie le portage et les suites.

Merci pour ton retour sur ces jeux.


Pour ma part, je recommence zelda, breath of the wild sur Switch, après une partie de 120h sur WiiU. Cette fois ci sans téléportation. Quel jeu fantastique ! Et sur Switch, avec le mode veille, je coupe et relance ma partie instantanément ! Même des jours plus tard.

Vive la Switch !  

Skyward Sword n'est pas un mauvais jeu mais il divise énormément. Certains le considèrent comme un chef-d'œuvre, c'est donc qu'il a su trouver son public.

Ça fait un moment que l'envie de recommencer BOTW me titille...mais à chaque fois je suis tiraillé entre les souvenirs de ce que j'ai adoré et de ce que j'ai détesté. Les Sanctuaires notamment, quelle plaie au bout d'un moment...mais je pense que tôt ou tard l'envie de m'y replonger sera la plus forte, ça reste une expérience unique !

C est la suite directe de persona 5 et bien que le jeu soit différent du précédent (que j'adore) je l'ai trouvé bon et le road trip a travers le japon est vraiment sympa.

Perso je te le conseille.

L’ambiance a l’air sympa, mais c’est le type de gameplay qui coince pour moi….j’aurai préféré un bon vieux RPG pur, au tour par tour

Le gameplay est certes différent mais le plaisir de retrouver la team et les nouveaux ainsi que le road trip a travers tout le japon durant les vacances d'été compense largement.

Bon je viens de me relancer dans BOTW, et en à peine 2h de jeu le constat est sans appel : l’immersion est totale, et je sens que je vais kiffer davantage que lors de mon premier run. Quel jeu…même si ce n’est pas l’idéal sur certains points (notamment l’absence de vrais donjons que je trouve particulièrement préjudiciable), le vent d’aventure qui souffle () sur le jeu et le sentiment de liberté sont juste incroyables. Bye bye le Skyward Sword injouable et soporifique, et bonjour l’aventure avec un grand « A » !