On s'en fout
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IORI77- Convert
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Re: On s'en fout
@shadowfox c'est vrai qu'elle est pas mal, un coup à avoir des ampoules aux mains.
Le film à l'air intéressant celui que je voudrais voir c'est Ikari sorti il y 2 ans mais impossible de trouver le sous-titre.
Le film à l'air intéressant celui que je voudrais voir c'est Ikari sorti il y 2 ans mais impossible de trouver le sous-titre.
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bladerunner- Scellé
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Re: On s'en fout
Le film est très bien mais il faut être prêt à regarder des scène avec une vision typiquement japonaise où l'éclairage est très travaillé avec des plans qui durent longtemps, le propos étant de détailler des paysages. C'est quelque chose qu'on ne retrouvera pas dans le cinéma européen ou américain.
Après, c'est un drame, vous êtes prévenu, c'est pas un film marrant.
Mais de temps en temps, j'étais plus dans le film et je me disais, " 'tain elle est pas mal"
Après, c'est un drame, vous êtes prévenu, c'est pas un film marrant.
Mais de temps en temps, j'étais plus dans le film et je me disais, " 'tain elle est pas mal"
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Re: On s'en fout
shadowfox a écrit:Le film est très bien mais il faut être prêt à regarder des scène avec une vision typiquement japonaise où l'éclairage est très travaillé avec des plans qui durent longtemps, le propos étant de détailler des paysages. C'est quelque chose qu'on ne retrouvera pas dans le cinéma européen ou américain.
Après, c'est un drame, vous êtes prévenu, c'est pas un film marrant.
Mais de temps en temps, j'étais plus dans le film et je me disais, " 'tain elle est pas mal"
Au vu du sujet traité je comprends. Les réalisateurs japonais sont doués pour filmer les scènes de silences où l'image parle d'elle-même.
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Re: On s'en fout
Oui, après on adhère ou non. Moi j'aime bien, mais j'ai vu des personnes reprocher ces passages trop lents pour eux.
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Re: On s'en fout
Peut-être qu'il ne connaisse pas trop le cinéma japonais parce que ces types de scènes sont assez récurrents dans leur cinéma, proche du théâtre parfois.
Les gens veulent du «spectacle» que ça pète de partout avec des barres d'immeubles qui s'effondrent etc...
Même si je n'ai rien contre les films d'action comme mad max et autres.Au contraire.
Les gens veulent du «spectacle» que ça pète de partout avec des barres d'immeubles qui s'effondrent etc...
Même si je n'ai rien contre les films d'action comme mad max et autres.Au contraire.
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Re: On s'en fout
J'avais vu Les délices de Tokyo au ciné, même réalisatrice. Un magnifique film qui m'avait beaucoup ému
Les Coréens et Japonais sortent vraiment du lot, que se soit dans le drame ou l'horreur
Les Coréens et Japonais sortent vraiment du lot, que se soit dans le drame ou l'horreur
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Re: On s'en fout
Tonkatsu a écrit:J'avais vu Les délices de Tokyo au ciné, même réalisatrice. Un magnifique film qui m'avait beaucoup ému
Les Coréens et Japonais sortent vraiment du lot, que se soit dans le drame ou l'horreur
exact tonka c'est souvent triste il ne rigole pas avec les relations humaines.
pour le ciné coréen je ne sais pas si vous avez vu The strangers un mélange de zombie et d'exorciste avec un flic dépasser par les évènements.
un super film avec une fin énorme.
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Re: On s'en fout
Oui, vu, excellent aussi, surprenant !
D'ailleurs cette même année (2016), les Coréens avaient fait fort avec Dernier Train pour Busan, où comment revisiter le film de zombies (mangez donc ça les ricains !) et Mademoiselle, joli twist à la fin
EDIT : Et je viens de vérifier, on peut ajouter aussi Tunnel
Purée je comprends mieux pourquoi l'année dernière il y a eu moins de films coréens projeté dans les salles françaises (mon impression en tout cas), sans doute parce qu'on voit d'un mauvais oeil cette sérieuse concurrence
D'ailleurs cette même année (2016), les Coréens avaient fait fort avec Dernier Train pour Busan, où comment revisiter le film de zombies (mangez donc ça les ricains !) et Mademoiselle, joli twist à la fin
EDIT : Et je viens de vérifier, on peut ajouter aussi Tunnel
Purée je comprends mieux pourquoi l'année dernière il y a eu moins de films coréens projeté dans les salles françaises (mon impression en tout cas), sans doute parce qu'on voit d'un mauvais oeil cette sérieuse concurrence
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Re: On s'en fout
Tu viens de me donner deux films à regarder c'est cool.
Le ciné français et les comédies à deux balles il y en a un peu marre.
Peut-être une bonne surprise avec revenge.
Le ciné français et les comédies à deux balles il y en a un peu marre.
Peut-être une bonne surprise avec revenge.
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Re: On s'en fout
j'ai vu The Strangers il n'y a pas longtemps tiens
c'était pas mal du tout, j'ai lu des critiques un poil dithyrambiques parlant de chef d'oeuvre ou encore de film culte, faut redescendre un peu, y'en avaient c'était comme s'ils voyaient pour la première fois un montage en parallèle et crient au génie.
le film est très bien, long et c'est tant mieux, parce que c'est beau à voir, c'est corréen, super léché au niveau de l'esthetique.
avec une grosse influence japonaise dans la mise en scène (pas étonnant qu'il y ait un japonais dans l'histoire d'ailleurs)
il y a quand même quelques scènes un peu lourdes et disons en bord de sujet, faisant varier la tension du film sans tirer d'avantage (la scène du chien est démente, alors que la scène de la foudre ridicule)
les 15 dernières minutes sont bonnes, la fin bien foutue.
perso je suis resté marqué par Sympathy For Mr Vengeance à l'époque, j'étais en One Love avec Du Na Bae qui 'tain de dieu était trop mignonne... sopalin était aussi mon ami lorsque j'ai vu le film où elle interprète une poupée gonflable et qu'on la voit bien nue
c'était pas mal du tout, j'ai lu des critiques un poil dithyrambiques parlant de chef d'oeuvre ou encore de film culte, faut redescendre un peu, y'en avaient c'était comme s'ils voyaient pour la première fois un montage en parallèle et crient au génie.
le film est très bien, long et c'est tant mieux, parce que c'est beau à voir, c'est corréen, super léché au niveau de l'esthetique.
avec une grosse influence japonaise dans la mise en scène (pas étonnant qu'il y ait un japonais dans l'histoire d'ailleurs)
il y a quand même quelques scènes un peu lourdes et disons en bord de sujet, faisant varier la tension du film sans tirer d'avantage (la scène du chien est démente, alors que la scène de la foudre ridicule)
les 15 dernières minutes sont bonnes, la fin bien foutue.
perso je suis resté marqué par Sympathy For Mr Vengeance à l'époque, j'étais en One Love avec Du Na Bae qui 'tain de dieu était trop mignonne... sopalin était aussi mon ami lorsque j'ai vu le film où elle interprète une poupée gonflable et qu'on la voit bien nue
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Re: On s'en fout
bladerunner a écrit:
sérieux ca à l'air nul à chier.
un scénario vu et revu, des scènes chocs comme on en voit pulluler un peu partout et ce sur tout les continents, une strip teaseuse qui devient une guerrière assoiffée de vengeance...mais sans le coté fun, nan le truc hyper sérieux quoi...la dernière maison sur la gauche, en grym...version starlette hollywoodienne au chomage.
je voudrais même pas revoir la bande annonce qui déja te spoile 90% du film.
c'est comme "à l'intérieur", ce film de merde.
rien à retenir de bien, une fausse boucherie dramatique du début à la fin.
en bon truc je pense à la trilogie des Human Centipede, là c'est déja un niveau au dessus dans ce qui est sorti ces 15 dernières années. le 2 est vraiment ouf, destabilisant par moment. mais au moins, le réalisateur assume un coté tout en un de l'oeuvre sur 3 volets qui sont des films différents.
ca me refait penser à Feast, une trilogie aussi bien démente et what a fuck! filmée avec brio genre budget pas enorme mais film loin d'être vilain et fournit en moment grore...mieux que ce que Troma fait comme merde depuis 20 ans, le 3 est juste à se pisser dessus tellement il y a des scènes marrantes
Invité- Invité
Re: On s'en fout
Sanjuro a écrit:
Regarde Ayame Misaki aussi, elle a ton support de jeu favori.
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Re: On s'en fout
@sanjuro Je peux pas te donner tort il y a quelques passage qui sont un peu just mais c'est voulu je pense en particulier le moment où ils se font attaquer par le zombie. Dans le cinéma asiatique dès qu'un mec est en panique et qu'il a le malheur de tomber il ne se relève jamais et puis le moment ou le père chouine. Par contre je ne me souviens plus de la foudre.
Sympathy For Mr Vengeance je l'ai vu aussi excellent il m'a laissé une drôle de sensation comme i saw the devil qui lui est malsain.
Sympathy For Mr Vengeance je l'ai vu aussi excellent il m'a laissé une drôle de sensation comme i saw the devil qui lui est malsain.
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Re: On s'en fout
shadowfox a écrit:
Regarde Ayame Misaki aussi, elle a ton support de jeu favori.
t'as du dossier shadowfox , elle est propre.
on est en manque de foin et ça rend fou.
tiens c'est pas beau ça
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Re: On s'en fout
je regarderais Ayame vous pouvez compter sur moi
la scene de la foudre, quand ils emmènent le témoin dans la forêt...j'ai pas vraiment trouvé ca "drôle" ni intéressant en fait, même si ce n'est pas anodin.
I saw The Devil est dur à regarder, les scènes de torture retournent les trippes.
vous avez déja taté du coté chinois notament Johnnie To ?
on s'eloigne du cinoche fantastique horreur à sensation pour se rapprocher du polar.
bon il a réalisé les cultes "Infernal Affairs" repris par Scorsese
il a sorti les Elections qui sont très bons aussi
j'ai pas vu encore par contre le film "Vengeance" avec Johnny Hallyday à l'affiche, il parait que c'est loin d'être un navet
mais il a surtout pondu des perles comme
- Exilé (probablement son meilleur film, une perle, ca frôle le chef d'oeuvre)
- The Mission (très bon, sorti avant Exilés et ayant des liens)
- Mad Detective (excellent, vraiment)
la scene de la foudre, quand ils emmènent le témoin dans la forêt...j'ai pas vraiment trouvé ca "drôle" ni intéressant en fait, même si ce n'est pas anodin.
I saw The Devil est dur à regarder, les scènes de torture retournent les trippes.
vous avez déja taté du coté chinois notament Johnnie To ?
on s'eloigne du cinoche fantastique horreur à sensation pour se rapprocher du polar.
bon il a réalisé les cultes "Infernal Affairs" repris par Scorsese
il a sorti les Elections qui sont très bons aussi
j'ai pas vu encore par contre le film "Vengeance" avec Johnny Hallyday à l'affiche, il parait que c'est loin d'être un navet
mais il a surtout pondu des perles comme
- Exilé (probablement son meilleur film, une perle, ca frôle le chef d'oeuvre)
- The Mission (très bon, sorti avant Exilés et ayant des liens)
- Mad Detective (excellent, vraiment)
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Re: On s'en fout
Vengeance vue par curiosité et j'en ai pas gardé un souvenir mémorable mais ce n'est pas mauvais comme j'avais lu à la sortie du film.ça déroule tranquille avec une ambiance assez sombre et un bon jeu acteur de johnny qui accroche bien la caméra.
Je ne connais pas les 3 films que tu cites par contre Infernale affaire ouais et c'est génial mais faut suivre
parce qu'a un moment je me suis paumé dans l'histoire.
Revenge ça peut pas être pire qu'une énième comédie avec le duo atroce clavier-abittan.
Je ne connais pas les 3 films que tu cites par contre Infernale affaire ouais et c'est génial mais faut suivre
parce qu'a un moment je me suis paumé dans l'histoire.
Revenge ça peut pas être pire qu'une énième comédie avec le duo atroce clavier-abittan.
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Re: On s'en fout
Je vais lui demander si elle veut pas faire un cosplay de Mai Shiranui. *pardon*
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Re: On s'en fout
shadowfox a écrit:Je vais lui demander si elle veut pas faire un cosplay de Mai Shiranui. *pardon*
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Re: On s'en fout
je viens de me faire le dernier épisode de la seconde saison de Strangers Things
merde...ca m'a foutu un coup.
en gros c'est toute la beauté des années 80 avec le bon sens d'aujourd'hui.
ca tape parfaitement dans l'époque, les décors, les look vestimentaires, les "idéaux" familiaux et la chaleur eighties que l'on croyait perdue.
en gros, c'est un savant mélange de Goonies/Exorciste/Class Of Nukem High/Marvel compagny
c'est touchant, les personnages sont attachants, que ce soit les jeunes ado comme les adultes se laissant aller à l'ouverture d'esprit.
ca tape bien là où il faut, c'est assez folklore dans la technique mais les relations mises en avant sont tellment bien foutues que ce serait du pipi de chat de trouver ca ridicule.
merde...si tout pouvait être simple comme à l'époque.
2018, on se marche dessus, tous connectés, on ne cherche plus rien, tout vient à nous et nous etouffe, la technologie nous domine et on nous fait croire que l'intelligence c'est toujours nous.
époque de merde, misérable et sans saveur.
ca me fout le cafard encore plus, je suis pas étonné de voir de plus en plus de tumeurs de cerveau ou autre anévrisme pulluler depuis des années, on est bouillis par les ondes, par les réseaux.
merde...ca m'a foutu un coup.
en gros c'est toute la beauté des années 80 avec le bon sens d'aujourd'hui.
ca tape parfaitement dans l'époque, les décors, les look vestimentaires, les "idéaux" familiaux et la chaleur eighties que l'on croyait perdue.
en gros, c'est un savant mélange de Goonies/Exorciste/Class Of Nukem High/Marvel compagny
c'est touchant, les personnages sont attachants, que ce soit les jeunes ado comme les adultes se laissant aller à l'ouverture d'esprit.
ca tape bien là où il faut, c'est assez folklore dans la technique mais les relations mises en avant sont tellment bien foutues que ce serait du pipi de chat de trouver ca ridicule.
merde...si tout pouvait être simple comme à l'époque.
2018, on se marche dessus, tous connectés, on ne cherche plus rien, tout vient à nous et nous etouffe, la technologie nous domine et on nous fait croire que l'intelligence c'est toujours nous.
époque de merde, misérable et sans saveur.
ca me fout le cafard encore plus, je suis pas étonné de voir de plus en plus de tumeurs de cerveau ou autre anévrisme pulluler depuis des années, on est bouillis par les ondes, par les réseaux.
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Re: On s'en fout
je crois que le pire, c'est que cette série m'a donné envie de refumer alors que j'ai arrêté depuis 2012.
merde les personnages ont l'air tellement vivant.
le personnage du "Chef" est énorme, le quator des djeuns aussi atypique que parfait, 11 est juste un des meilleurs personnages de fiction d'ado que j'ai pu voir dans des séries ou films, touchante.
merde, ca doit faire 10 ans bientot que j'ai pas ressentit ca, aussi bien retranscrit, ce coté épique/aventure quand on est jeune, cette époque de la vie où l'on est au taquet sur tout les délires et qu'en vieillissant, en se forgeant des responsabilités, on devient mature...mature...mature...les plaisirs deviennent matière et l'on quitte l'existentiel probable pour se cloisonner dans l'existentiel couloir.
je commence à comprendre pourquoi des personnes s'aventurent du coté des sciences de l'esprit et de l'univers. il faut garder un esprit d'enfance, garder cette saveur de l'horizon.
merde les personnages ont l'air tellement vivant.
le personnage du "Chef" est énorme, le quator des djeuns aussi atypique que parfait, 11 est juste un des meilleurs personnages de fiction d'ado que j'ai pu voir dans des séries ou films, touchante.
merde, ca doit faire 10 ans bientot que j'ai pas ressentit ca, aussi bien retranscrit, ce coté épique/aventure quand on est jeune, cette époque de la vie où l'on est au taquet sur tout les délires et qu'en vieillissant, en se forgeant des responsabilités, on devient mature...mature...mature...les plaisirs deviennent matière et l'on quitte l'existentiel probable pour se cloisonner dans l'existentiel couloir.
je commence à comprendre pourquoi des personnes s'aventurent du coté des sciences de l'esprit et de l'univers. il faut garder un esprit d'enfance, garder cette saveur de l'horizon.
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Re: On s'en fout
Tombe pas dans le piège, cette série enjolive beaucoup les années 80, c'était pas aussi cool que ça à l'époque. En Europe, c'était la glorieuse époque RDA/RFA et l'URSS. On vivait dans l'hypothétique retour d'une guerre mondiale et la crise économique des années 70 était passée par là.
Moi, j'ai grandit dans les années 90 et mes potes et moi, on avait pas tous un talkie pour discuter le soir. Quand tu téléphonais à quelqu'un, tu comptais les minutes parce que ça coutait la peau des fesses. Et ado, j'ai pas eu un appareil Pentax qui aurait couté 2000 Frs à mes parents.
Dans la série, c'est un peu tous des gros riches en fait, ça rend le truc beau, mais aucun américain moyen était autant équipé dans les faits.
Ce sur quoi je te rejoint, on était à des années lumières de tous se disputer pour tout et n'importe quoi via Twitter et cie. On était bien obligé de sortir et de parler à des gens pour faire de nouvelles rencontres. Aujourd'hui, pour le commun des mortels, parler à un inconnu dans la rue, ça relève de l'agression verbale bientôt.
Tout et filmé ou enregistré et ça pue c'est vrai. Je suis content d'avoir pu au moins vivre mon adolescence sans toute cette merde. Mais j'aurais voulu vivre aussi ma vie d'adulte comme ça.
Par contre, tu pouvais pas faire une soirée dehors sans te retrouver à sentir 8 paquets de clopes à la fin de la soirée. Avec le charme des yeux qui te brûle à force d'avoir de la fumée dans la gueule. ^^'
'y a du pour et du contre.
Moi, j'ai grandit dans les années 90 et mes potes et moi, on avait pas tous un talkie pour discuter le soir. Quand tu téléphonais à quelqu'un, tu comptais les minutes parce que ça coutait la peau des fesses. Et ado, j'ai pas eu un appareil Pentax qui aurait couté 2000 Frs à mes parents.
Dans la série, c'est un peu tous des gros riches en fait, ça rend le truc beau, mais aucun américain moyen était autant équipé dans les faits.
Ce sur quoi je te rejoint, on était à des années lumières de tous se disputer pour tout et n'importe quoi via Twitter et cie. On était bien obligé de sortir et de parler à des gens pour faire de nouvelles rencontres. Aujourd'hui, pour le commun des mortels, parler à un inconnu dans la rue, ça relève de l'agression verbale bientôt.
Tout et filmé ou enregistré et ça pue c'est vrai. Je suis content d'avoir pu au moins vivre mon adolescence sans toute cette merde. Mais j'aurais voulu vivre aussi ma vie d'adulte comme ça.
Par contre, tu pouvais pas faire une soirée dehors sans te retrouver à sentir 8 paquets de clopes à la fin de la soirée. Avec le charme des yeux qui te brûle à force d'avoir de la fumée dans la gueule. ^^'
'y a du pour et du contre.
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Re: On s'en fout
Sanjuro a écrit:bladerunner a écrit:
sérieux ca à l'air nul à chier.
un scénario vu et revu, des scènes chocs comme on en voit pulluler un peu partout et ce sur tout les continents, une strip teaseuse qui devient une guerrière assoiffée de vengeance...mais sans le coté fun, nan le truc hyper sérieux quoi...la dernière maison sur la gauche, en grym...version starlette hollywoodienne au chomage.
je voudrais même pas revoir la bande annonce qui déja te spoile 90% du film.
c'est comme "à l'intérieur", ce film de merde.
rien à retenir de bien, une fausse boucherie dramatique du début à la fin.
en bon truc je pense à la trilogie des Human Centipede, là c'est déja un niveau au dessus dans ce qui est sorti ces 15 dernières années. le 2 est vraiment ouf, destabilisant par moment. mais au moins, le réalisateur assume un coté tout en un de l'oeuvre sur 3 volets qui sont des films différents.
ca me refait penser à Feast, une trilogie aussi bien démente et what a fuck! filmée avec brio genre budget pas enorme mais film loin d'être vilain et fournit en moment grore...mieux que ce que Troma fait comme merde depuis 20 ans, le 3 est juste à se pisser dessus tellement il y a des scènes marrantes
Yosh!
J'ai eu un temps un passage cinéma d'horreur/fantastique. Jamais pu arriver au bout du premier Human Centipede, ça m'avait trop secoué. Ceci dit, je l'avais regardé juste après avoir vu Angst, qui est bien dérangé aussi dans son genre. Massacre à la tronçonneuse (le tout premier) a été aussi une sacrément bonne expérience.
Dans un genre peut être un peu différent, mais pas forcément moins dérangé, as-tu déjà eu l'occasion de voir le film Alice, de Jan Svankmejer? Pour ma part j'en garde un souvenir très marquant. C'est très spartiate niveau moyens et réalisation, de mémoire peu/pas de musique, mais bordel l'ambiance qui s'en dégage est proprement fascinante. C'est narré comme un conte, à l'ancienne, avec la voix d'Alice qui lit les dialogues sur écran de texte fixe, façon cinéma muet, en mêlant film et animation dans la veine de l'Etrange Noël de Mr. Jack. C'est complètement surréaliste et tu as des plans qui ne dépareilleraient pas dans une oeuvre de Dali, Gustave Doré ou bien Jérôme Bosch. Pour moi la meilleure relecture "pour adulte" d'Alice au Pays des Merveilles, avec les 2 American McGee's Alice.
Ca m'a donné envie de le revoir tiens .
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Re: On s'en fout
alors, dire que c'est un peu tous des gros riches, je suis pas d'accord.shadowfox a écrit:Tombe pas dans le piège, cette série enjolive beaucoup les années 80, c'était pas aussi cool que ça à l'époque. En Europe, c'était la glorieuse époque RDA/RFA et l'URSS. On vivait dans l'hypothétique retour d'une guerre mondiale et la crise économique des années 70 était passée par là.
Moi, j'ai grandit dans les années 90 et mes potes et moi, on avait pas tous un talkie pour discuter le soir. Quand tu téléphonais à quelqu'un, tu comptais les minutes parce que ça coutait la peau des fesses. Et ado, j'ai pas eu un appareil Pentax qui aurait couté 2000 Frs à mes parents.
Dans la série, c'est un peu tous des gros riches en fait, ça rend le truc beau, mais aucun américain moyen était autant équipé dans les faits.
Ce sur quoi je te rejoint, on était à des années lumières de tous se disputer pour tout et n'importe quoi via Twitter et cie. On était bien obligé de sortir et de parler à des gens pour faire de nouvelles rencontres. Aujourd'hui, pour le commun des mortels, parler à un inconnu dans la rue, ça relève de l'agression verbale bientôt.
Tout et filmé ou enregistré et ça pue c'est vrai. Je suis content d'avoir pu au moins vivre mon adolescence sans toute cette merde. Mais j'aurais voulu vivre aussi ma vie d'adulte comme ça.
Par contre, tu pouvais pas faire une soirée dehors sans te retrouver à sentir 8 paquets de clopes à la fin de la soirée. Avec le charme des yeux qui te brûle à force d'avoir de la fumée dans la gueule. ^^'
'y a du pour et du contre.
l'exemple du Pentax, quand tu vois la mère où elle bosse, les relations qu'elle a, c'est toujours possible à un moment ou un autre pour des parents de faire plaisir à leur(s) enfant selon la situation.
moi, personnellment, en 2000 j'ai demandé un camescope à ma mère, qui vivait seul avec 3 enfants à charge dans un F4. les circonstances ont fait que cela a pu être possible d'obtenir un camescope de 9000frs (contact qui passe la facture dans Xcharge pour charge immobiliaire etc...) à la maison (certes pas pour moi uniquement, mais c'est moi qui l'ait le plus utilisé pendant 3/4ans)
dans la série, on voit l'importance du pentax pour le jeune ado, j'ai pas ressentit de malaise à voir un faux pauvre avec un pentax, d'aiulleurs, à la fin de la première saison, on voit une scène concrète, un vrai gosse de riche se faire pardonner.
ok ca enjolive toutes les années 80, sauf que là c'est en 83, qu'il y a un fond politique et sécurité, je dis pas le contraire, j'ai même dit je me recite "la beauté des années 80 avec le bon sens d'aujourd'hui".
en ce sens, je vois la série comme un gosse la voit, c'est là où je voulais en venir.
les crises politique et nécessités budgétaire quand t'as 12 ans ? tu peux pas encore les comprendre, la série à le grand mérite de marcher sur des oeufs sans trop en casser à ce niveau.
c'est sur, à l'époque ce bon sens était impossible, je me dis exactement la même chose que pour notre époque, le présent actuel, le bon sens est impossible également.
la série garde une certaine justesse, les riches sont représentés par des parents absents, ou éloignés des contact avec le vrai monde, casé au chaud dans leur baraque, vivant un quotidien agréable où même à un moment, la vérité est dite sur un ton d'humour bordel!!! "nos enfants n'habitent plus ici tu n'est pas au courant ?"
voilà la rupture, la porte qui est mise en avant de la série. ce regard sur le monde, qu'il faut considérer comme un monde à coté d'un autre, ce mot de fou "home" qui revient dans la même bouche de la jeune 11 et qui prends une nouvelle place à chaque fois qu'elle le prononce, où est vraiment la "maison" ????
merde...sérieux cette série en dit plus long qu'elle n'en parait, y'a des sacrées questions existentielles qui se font tringlées en quelques dialogues très bien pensés, surtout dans la saison 2.
faut pouvoir ressentir le truc, les gars ont pas fait quelque chose de juste "fantastique/homage/remember when we were young", ils ont prit les devant en faisant quelque chose (enfin) de complet, quelque chose qui soulage merde, qui soulage...y'a des dialogues dans cette série c'est la vérité sur le rôle des relations sur lesquelles tu te construis.
y'a des moments forts, vraiment émouvants de part leur simplicité, le choix des mots, le choix de parler à un moment précis...
désolé mais je trouve cette série beaucoup trop sous estimées pour ce qu'elle fournit en diaporama existentiel de l'enfance en rapport au show (ou elle assure également, mais c'est un autre sujet) qui se missionne de satisfaire une masse. on y trouve une sensibilité, vous ne la sentez pas ?
Invité- Invité
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